Après deux albums de haute volée, «Pandora’s Box» (2008) et «Black Sorrow» (2011), le gang à géométrie variable articulé autour de Guts Guttercat revient en force avec ce troisième opus d’une classe rarement atteinte en nos contrées. Enregistré à Paris, mixé en Bretagne par Jean-Louis Réglain, masterisé à Birmingham dans le fameux studio de John Rivers (Swell Maps, Jacobites, Love & Rockets, Buzzcocks…), la mécanique est indéniablement bien huilée sur ce troisième album. Les guitares acoustiques et électriques se fondent le plus naturellement du monde pour dresser une couche somptueuse à un savant enchevêtrement de ballades et Rock’n’Roll songs dans la pure tradition anglaise. Les arrangements subtiles de piano ou d’alto confèrent noblesse et mélancolie à l’ensemble. Laissez vous donc happer par cet étrange carrousel échafaudé pour ne laisser que de maigres instants de répit, tant les accalmies de cet album ne sont présentes que pour mieux vous entrainer dans les tourbillons qui leur succèdent implacablement. Les différentes étapes de cette ballade en forme de Road Movie crépusculaire se nomment «Ain’t Goin’ Nowhere», croisement illicite entre Johnnys, E.Morricone et J.Thunders, «Death &The Girl», «Dead Love’s Shadow», «Black Sorrow», classieux triptyque aux ambiances envoutantes proches des Only Ones et autre Nick Cave, «Nobody Knows», sur lequel planent les fantômes de N.Sudden et B.Dylan, «Night Of The Vampire», cover de Roky Erickson aux réminiscences de Mink Deville avec ses brulantes parties de saxophones, «Fire», «Way Down In Hell» qui oscillent dangereusement entre le Gun Club et les Stooges, «Without You I’m Nothing» sur lequel l’alchimie entre guitares électriques et acoustiques atteint une symbiose proche du meilleur Dogs D’Amour, «Slow Down», ballade intimiste acoustique flirtant avec les regrettés Nick Drake ou Elliott Smith, «Black Sorrow» aux relents des Spiders circa 73… Ajoutez à cela deux bonus tracks tels que le très western Dollsien «Hot On Our Trail» et la magnifique version acoustique de «Dead Love’s Shadow» où le piano et la voix de Guts Guttercat nous replongent dans les premiers L.Cohen, voire une B.O oubliée de J.Jarmush et vous obtenez un des plus brillants albums de Rock’n’Roll atmosphérique qui ai vu le jour ces dernières années !
Ici règnent l’ombre et la lumière en parfaite harmonie, «Beautiful Curse» est un album spirituel qui parle à votre âme sans jamais tomber dans le pompeux ni le révérencieux, avec la dose d’intelligence et de réflexion nécessaire qui lui permettent de se hausser au niveau supérieur et de tutoyer le panthéon des plus grands.
A découvrir sans modération tant ce disque vous révèle de nouveaux territoires au fil des écoutes !
GUTTERCATS
“Beautiful Curse”
LP (10 tracks ) + CD (12 tracks + 2 bonus tracks) included
Following two albums of highest interest, ” Pandora’ s Box ” (2008) and ” Black Sorrow ” (2011), the protean gang, articulated around Guts Guttercat makes a strong comeback with this third opus of a class hardly reached in our lands. Recorded in Paris, mixed in Brittany by Jean-Louis Réglain, mastered in Birmingham in the famous John Rivers’ studio (Swell Maps, Jacobites, Coils and Rockets, Buzzcocks), the mechanics is irrefutably well oiled on this third album. Acoustic and electric guitars most naturally melt to raise a sumptuous layer to a complex tangle of ballads and Rock n’roll songs in the pure English tradition. Subtle piano or viola arrangements confer nobility and melancholy to the works. Therefore let you catch by this strange carousel put together to leave only thin instants of respite, so much the lulls of this album are present only to better drive you in the whirls which follow them relentlessly. Different stages of this journey, in form of a crepuscular Road Movie are named «Ain’ t Goin’ Nowhere», illicit crossing between Johnnys, E. Morricone and J. Thunders, «Death & The girl», ” Dead Love’ s Shadow “, ” Black Sorrow “, elegant triptych of captivating atmosphere circa Only Ones and other Nick Cave, ” Nobody Knows “, surrounded by the ghosts of N. Sudden and B. Dylan, “Night Of The Vampire”, the Roky Erickson’s cover in the spirit of Mink Deville with its burning saxophones licks, ” Fire “, “Way Down In Hell” which wobble dangerously between The Gun Club and The Stooges, «Without You I’ m Nothing» on which the alchemy between electric guitars and acoustic ones reaches a symbiosis close to the best Dogs D’ Amour’s , ” Slow Down “, acoustical intimist ballad flirting with late Nick Drake or Elliott Smith, “Black Sorrow” hinting The Spiders circa 73 …
Add to this two bonus tracks such as very Dollsy western “Hot On Our Trail” and the splendid acoustical version of “Dead Love’ s Shadow” where Guts Guttercat’s piano and voice draw us back into the first L. COHEN, or even forgotten J. JARMUSH’s soundtrack, and you get one of the brightest atmospheric rock’n’roll albums of these last years!
There reign shadow and light in perfect harmony, “Beautiful Curse” is a spiritual album which speaks to your soul without ever falling in the high-flown or the reverential, with the necessary dose of intelligence and reflexion which enable it to rise up in a higher grade and to share the most famous’ pantheon.
This record shall be discovered without moderation, the more you’ll listen to it, more new territories it will reveal you !
HOT NEWS ! TASHA B vient de remporter le award de la meilleure artiste féminine internationale 2024 auprès du jury de la web radio londonienne RADIO WIGWAM!
Album enregistré en 7 jours, du pur son 100% analogique, Roccio et
Matt Verta-Ray aux commandes pour 10 titres (+2 sur la version CD)
qui sortent le groupe du Bayou et l’amène à un son beaucoup plus
urbain. Les trajets matins et soirs du fin fond du Bronx à Lower East
side en guide d’inspiration, mais aussi une influence un peu plus
punk, plus brute que sur le premier LP. Un album avec uniquement
des compositions, des tranches de vies : de la pandémie aux
différents enjeux politiques ou climatiques, mais aussi des
introspections plus personnelles.
1er album – 9 titres LP et 12 titres CD « You’re gonna leave the building soon »
LP disponible ici / Available here : https://shop.closerrecords.fr/fr/home/569-no-jazz-quartet.html
CD disponible ici / Available here : https://shop.closerrecords.fr/fr/home/570-no-jazz-quartet.html
Facebook : https://www.facebook.com/people/No-Jazz-Quartet/100064119543387/Quartet, 4 musiciens- NO Jazz, qui font du Rock.
Si les 4 protagonistes se connaissent depuis des lustres, ils n'avaient jusqu'en 2018, jamais joué ensemble. De leurs formations antérieures (ELEKTROLUX, THE HOLY CURSE, KEITH RICHARDS OVERDOSE, MOCKERS…), ils conservent et partagent une expérience de la scène et un goût pour un rock de haute énergie qui s'offre sans fard. Leur musique est frottée à tant d'influences qu'elle est devenue un être propre.
Du rock, le NO JAZZ QUARTET prend l'expression directe, qui parfois emprunte des chemins sinueux, pour le plaisir, mais sans jamais se perdre complètement. Les tempos démarrent lentement puis s'accélèrent, trouvent toujours leur rythme de croisière. Les deux guitares qui parlent des langues différentes dialoguent pourtant volontiers, tout comme les deux chanteurs dont les voix parfois s'entremêlent.
Après s’être enfermés de longues sessions durant au Local 54 à Marseille sous la houlette exigeante de Jearc, le maître des lieux, le NO JAZZ QUARTET est en mesure de vous présenter « You’re gonna leave the building soon », son premier album produit par l’historique label CLOSER Records.
Rock !
Années 2.0. Le duo electro-pop LADY GODIVA : Tallulah X et Krees D. (ex-Nitrate) livre une cascade de hits potentiels en deux albums dont un titre, "September" sera charté outre-manche classé entre Blur et Oasis dans les charts indies ! Le tandem est rejoint sur scène par Mekanikman (ex-Nitrate lui aussi). Malgré des promesses porteuses et d’indéniables qualités, Lady Godiva mettra accidentellement fin à ses activités…
Saison 1 :
Années 2.1. Pas question de stagner… Que nenni ! La musique constitue l’ADN propre à ce couple sauvage ! Retour à une formule... plus organique : chant, guitare, basse, drums… et claviers. BELPHEGORZ est né ! Un premier EP voit le jour en 2012. Un cinq titres mâtinés de glam, de punk et de pop, sombrement intitulé « BelpheGorZ » et qui contient déjà un hit : « Vintage Girl ».
Après moult changement de personnel, le groupe se stabilise autour de Tallulah X (chant/machines), Krees D.(chant/guitare), Fred.L (basse), Mekanikman (drums/backing vocals) et Guino de Saint Zach (orgue Hammond/ Synthés et théremine).
Le groupe tourne sans cesse, rodant sa nouvelle formule jusqu’à en faire une machine de guerre parfaitement huilée. L’historique label havrais CLOSER RECORDS les repère. Leur premier LP sort en 2019. « Vintage Girl » est réenregistré et ouvre l’album. Les réactions sont dithyrambiques. Succès critique. Mais TalullahetKrees ont de l’ambition ; ils ont une vision et veulent aller plus loin encore : expérimenter sans cesse, et surtout… écrire et graver dans le marbre des titres mémorables, des hits…
Chers adhérent(e)s, chers ami(e)s, CLOSER RECORDS is still alive.
Depuis le début de l’été, nous avons subi de gros problèmes de maintenance sur nos sites, vous empêchant tout accès et commandes. Les sites du label et de la boutique sont désormais accessibles avec de nouvelles adresses.
Attention:Nous vous invitons à modifier les adresses finissant par .com dans vos marque-pages ou favoris si vous tombez sur une page Huge domains. Toutes les adresses sont désormais en .Fr
Nouveaux Tote Bags disponible. Le T-shirt CLOSER est de retour, y compris celui des BELPHEGORZ. Profitez de compléter vos disques manquants ou passer la précommande du double SAINTS édition limitée. « Y’en aura pas pour tout le monde ».
Encore un peu de patience pour le double LP des SAINTS, il sortira au 4ème trimestre 2022. Sachez que ça devient très compliqué de sortir un vinyle. Depuis le retour de celui-ci, les délais de fabrication et les coûts de production ont augmenté. Le futur : de Suède, de France, on verra, celui-ci se fera avec votre mobilisation. Amicalement PH DEBRIS
BelpheGorZ "BelpheGorz" CD Digipack (11 Titres)
Disponible ici / Available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/cd/549-belphegorz-belphegorz.html
Facebook : https://www.facebook.com/belphegorzofficial/Belphegorz est à l'origine un duo formé par Krees D. (guitare) et Tallulah X (chant) qui aguisèrent leurs machettes ensemble dans Lady Govida, gang electro-rock coupable de deux magnifiques albums, oscillant entre glam rock et indus, en 1999 et 2004.
Il est à noter que Krees D. officia dans Nitrate R.U., le légendaire combo marseillais 80’s dont Robert Rossi fit l’apologie dans « Histoire du Rock à Marseille (2017 – Le Mot & Le Reste) et qui battra des records d’entrées sur Marseille lors de leur concert unique de reformation en 2017.
De ce sulfureux pedigree va naitre Belphegorz en 2010. Ils s’adjoidront progressivement les services de Mekanikman (batterie, ex Nitrate R.U.), Fred L. (basse) et de l’énigmatique Guyno de St Zach aux claviers. Le groupe tournera sans relâche et enchainera concerts sur festivals Closer Records, que vous tenez entre vos mains.
Porté par le hit « Vintage Girl » et une reprise musclée du « Radioactivity » de Kraftwerk, cet opus forme une palette de titres nourris au son de T.Rex, Damned, X-ray Spex mais aussi de Blondie et autres B-52’s.
La voix possédée de Tallulah X, à la manière d’une prêtresse vaudou sous ectasy, fredonne, hurle à la lune en de longues incantations planant sur un magma de guitares en fusion et de claviers déjantés. Leur univers singulier se joue des ambiances et des atmosphères, entre calme apparent et déchainement se dessine un carrousel démoniaque qui sent le stupre et la luxure !
Jim Younger's Spirit "No Human tongue can tell" LP (8 titres / tracks) + CD inclusDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/vinyles/518-jim-younger-s-spirit-no-human-tongue-can-tell.htmlEcoutez ici / Listen here : https://jimyoungersspirit.bandcamp.com/Videos : https://www.youtube.com/watch?v=qK1seeu2cfUFacebook : https://www.facebook.com/JimYoungersSpirit/Un hold up psychédélique sur les terres mythiques de l'Ouest Américain
Portée par des vagues de guitares claires emplies de la même reverb que le chant nonchalant de Polar Younger, la musique de Jim Younger's Spirit est parfois menaçante, souvent bienveillante. Elle est surtout si harmonieuse que l'auditeur ne réalise jamais réellement le passage d'un état à l'autre.
« No human tongue can tell » est le 3 ème LP d'un concept : tous les titres traitent de l'histoire de Jim Younger, partenaire de braquage de Jesse James pendant la guerre de sécession, qui combattit pour la guérilla confédérée menée par Quantrill, pour finalement finir sa vie avec des idées humanistes, avant de se suicider. Qu'elle soit ici décrite à partir de témoignages historiques, ou bien fantasmée par Polar, la terrible épopée de cet homme violent et torturé procure une trame de fond presque sans limite pour traiter divers sujets qu'ils soient historiques (guerre de sécession, conflits Indiens…) ou bien introspectifs (les regrets, la rédemption…). Ce récit captivant est mis en musique sur une toile de fond Rock-Psyché de laquelle transpirent en permanence les différents courants Americana mais aussi des teintes irisées de Blues, de Folk…
Un fascinant voyage garanti à tous !
BRUCE JOYNER AND NETHERGLADES “Love and the blood vodou”!
Postée le
Bruce Joyner and Netherglades : "Love and the blood vodou" LP (10 titres) + CD inclusDisponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/vinyles/519-bruce-joyner-netherglades-love-and-the-blood-vodou.htmlEcoutez ici / Listen here : https://brucejoyner.bandcamp.comVideos : https://www.youtube.com/watch?v=fCFtQnCb_1ghttps://www.youtube.com/watch?v=eHw_6mYFLd0&feature=youtu.be&fbclid=IwAR2Sc6UROd7GHn69E1PqLWJQGQauSY1xhscee5aDpb7hulrfBTr6SpROh4sFacebook : https://www.facebook.com/Netherglades/Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruce_JoynerBruce Joyner, le Rossignol de Georgie.
Né en 1956 au milieu des plantations dans un petit bled de Georgie, Bruce Joyner biberonne dans le bar de sa mère, les oreilles collées au juke-box maison où se catapultent les grands anciens, de Hank Williams à Roy Orbison, en passant par Fats Domino ou Bo Diddley ... Une vraie "gueule cassée", ce pauvre Bruce ... Les cordes vocales sérieusement bousillées, dès l'âge de quatre ans, par des "bonbons" offerts par une stupide camarade, en fait des cristaux de révélateur photographique, sa voix en sera à jamais altérée, mais il en fera peu à peu une force singulière, étant capable, après moults exercices de se balader d'octave en octave, avec un phrasé si particulier ... Six ans .. il perd un oeil ! ... Quatorze ans, il se retrouve partiellement paralysé après un accident de voiture ... Pas de bol donc ...
Plutôt que de rester dans son trou maudit, en attendant un nouvel accident de la vie, direction L.A. vers la fin desseventies, THE place to be, où la crème des groupes Angelinos ou exilés, X, Wall Of Voodoo, Creeping Ritual puis Gun Club se disputent les scènes les plus interlopes, Madame Wong's, Club Lingerie, Starwood, Whisky, etc... C'est dans ce marécage urbain que Bruce Joyner, le petit gars des swamps de l'Okkefenokee, développe, avec son deuxième groupe The Unknowns (un premier groupe, The Stroke Band, sortira un album qui plongera rapidement dans les bacs des soldeurs), un étrange et hypnotisant garage rockabilly, habité de huhulements tout en vibrato à la limite de la fracture, sur un lit de guitares Mosrite vintage et une rythmique en perpétuelle déconstruction ... Un truc aussi effrayant qu' attirant ... La bande-son d'un remake improbable de "La Nuit Du Chasseur" ...
La poisse aurait pu le suivre, les Unknowns, qui commencent à avoir une petit succès, y compris à l'international (un maxi et un LP chez Bomp!, ici Disc'AZ ou Line records), splittent une première fois en 1982 (on les verra ré-appa-raître quelques années plus tard pour un dernier album chez New Rose). Mais c'est sans compter sur l'opiniâtreté du personnage... Une filiale de Bomp! le récupère (et Closer -déjà- en France) pour un premier album ; Bruce s'engage alors dans une carrière plus erratique, en mode "artisanal", pourtant épaulé tantôt de Peter Buck, Ray Manzarek eu encore Steve Wynn, multipliant les projets (The Plantations, The Tinglers, The Reconstruction, Atomic Clock), désormais suivi et appuyé quasi uniquement en Europe et notamment en France (Closer, New Rose, Bang!, puis à nouveau Closer).
Son dernier album "Love And The Blood Vodou" , enregistré avec The Netherglades, avec le désormais fidèle Tom Byars (une vieille connaissance dont Bruce avait produit l'unique LP de son premier groupe "Out Of The Fire" dans les années 80). Vous apprécierez ce genre de "Vibrato In The Grotto", pour paraphraser un autre bien bel artisan US, Ben Vaughan... Le rossignol de Georgie, descendant direct de Roy Orbison et de la Créature du Marais, a encore frappé avec ce nouvel album , "Love And The Blood Vodou", peuplé d'alligators, hanté d'ombres nocturnes, de couchers de soleil glauques, de valses désuettes et autres flamencos saumâtres...
2Sisters "Run, Baby! Run!" LP (11 titres / tracks) + CD inclusDisponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/vinyles/512-2sisters-run-baby-run.htmlEcoutez ici / Listen here : https://two-sisters.bandcamp.com/Videos : https://vimeo.com/91501203https://vimeo.com/285458049?fbclid=IwAR3oCZpucOgBI3-eihSaxddl2Nni43TDJleenL3spDoGFgqHTU9TDBgqA3UFacebook : https://www.facebook.com/2SISTERS.from.Paris/Les 2Sisters délivrent des riffs incisifs et entêtants, habillant leurs compositions d'un son brut de décoffrage et de soli rageurs. De la fuzz, de la wah-wah, de la sueur; leurs concerts sont à l'image de leur musique: sauvages et habités. Ce n’est pas un hasard s’ils revendiquent comme principales influences le sacro-saint triptyque : MC'5, Stooges et Motorhead.
Les 2Sisters existent depuis 2009 et, écouter leurs méfaits soniques équivaut à revisiter avec une délectation certaine les quarantes dernières années dans ce qu’elles ont de plus excitant et de plus farouche. Les 2Sisters sont une véritable fontaine de jouvence que l’on pourrait qualifier, si l’on voulait trouver coûte que coûte une étiquette sous laquelle ranger cet OVNI dégénéré, de « power punk garage on LSD »…
Les 2Sisters éructent un son over-pourri qui grince à tous les étages, un rock vénéneux qui sent le cambouis et la chaîne à vélo, le stupre et l’alcool frelaté... S’ils lorgnent souvent vers les contrées du garage punk 60’s comme Billy Childish, les Cynics ou autres Morlocks avec qui ils partagent un goût prononcé pour les structures basiques pontuées de refrains à brailler sous la douche, les 2Sisters aspergent leurs morceaux de décharges électriques incandescentes et incontrôlées issues du punk le plus primal.
Les 2Sisters ça sonne comme les Cannibals qui auraient bouffé la bigmuff de Mudhoney... Voici un premier album dans toute sa splendeur, un disque inégalable de par son authenticité, sa production minimaliste, son énergie vitale préservée, bille en tête et tous les potars dans le rouge !
On en connait quelques-uns qui vont adorer...
Tio Manuel "Dos Tios"CD (Digipack 11 titres / 11 tracks)
Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.com/fr/cd/510-tio-manuel-dos-tios.htmlLP (11 titres / 11 tracks)Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/vinyles/514-tio-manuel-dos-tios.htmlEcoutez ici / Listen here : https://www.reverbnation.com/tiomanuelbandFacebook : https://www.facebook.com/TIO-ManuelLe sixième album de Tio Manuel, « Dios Tios », est une petite révélation en soi.
Le rock’n’roll c’est de la musique mais pas seulement. Pour faire une véritable chanson qui marque les esprits il faut bien évidemment une mélodie mais aussi et surtout une histoire.
Manu Castillo l’a bien compris, il ne souhaite pas faire de chansons « à moitié », amputées de tout sens… au sein desquelles sa voix ne serait qu’un instrument de plus s’ajoutant aux guitares.
La voix offre à voir, traduit des images, des ressentis, des émotions en mots, elle sert à communiquer avec celui qui écoute, à parler à son âme.
Ainsi, une bonne partie de cet album est chantée dans la langue maternelle de Manu Castillo : l’espagnol. Chaque chanson devient alors une tranche de vie, une petite nouvelle qui se dévoile à l’auditeur en créant une forme de dialogue dans lequel Manu Castillo se révèle un redoutable conteur. Que Manu parle de Rosita la gitane qui dépouille les gringos, de la misère des gamins des rues rencontrés au Honduras, du salvadorien Roque Dalton assassiné par erreur par ses anciens camarades révolutionnaires ou de son amour viscéral pour le blues espagnol « qui joue dans ses rêves et danse dans son esprit », chaque mot est senti, vécu, chaque syllabe a du sens tissant des saynètes d’une authenticité et d’un réalisme déchirant.
Même si la part belle est faite à la langue de Cervantès, l’anglais est aussi bien présent pour rappeler que l’univers de Tio Manuel est un mélange de sonorités et d’images s’étalant de John Lee Hooker à Paco de Lucia en passant par Jimi Hendrix et Muddy Waters.
Musicalement, Manu Castillo n’a pas sorti l’artillerie lourde mais à opté pour une formule en duo toute en finesse accompagné de son vieil ami Gilles Fegeant qui excelle dans l’art du Dobro.
L’idée était de revisiter le répertoire de Tio Manuel avec un son plus intimiste, plus proche de l’os, il en résulte une succession de chansons déconcertantes par leur pureté au sein desquelles s’entremêlent voluptueusement les guitares acoustiques.
Tout est millimétré, savamment agencé de manière à créer un opus organique qui résonne et respire par lui-même, qui ne doit rien à personne si ce n’est au talent et à la sincérité de ses auteurs.
Closer Records présente : Midnight Scavengers !Closer Records presents : Midnight Scavengers!Distribution : L’Autre DistributionMidnight ScavengersCD Digipack (15 titres / 15 tracks) : sortie aujourd’hui / out nowLP (7 titres) + CD (15 titres) inclus : fin octobreLP (7 tracks) + CD (15 tracks) included : at end of OctoberDisponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/home/482-midnight-scavengers.htmlEcoutez ici / Listen here :https://www.youtube.com/watch?v=A2IBb7w1pAQFacebook :https://www.facebook.com/MidnightScavengers/
Combo de Melbourne se trouvant entre ténèbres, beauté et violence, MIDNIGHT SCAVENGERS s’articule autour de la guitariste /chanteuse Johanna Brockman - du DIRTY SKIRT BAND de James McCann (également collaboratrice de Brian Henry Hopper, première partie de la tournée Nick Cave & The Bad Seeds 2009 en Australie) - et du clavier et co-chanteur Dimitri Kucharzewski. Ils firent la rencontre l'un de l'autre à Berlin où Dimitri, qui était déjà alors le crooner sardonique aux accents
hazlewoodien d'aujourd'hui, a joué à plusieurs reprises aux côtés du légendaire Nikki Sudden.
Se sont adjoints au duo Jeff Lee Hooker (Kim Salmon, Darling Downs, Brian Hooper' s band) à la basse, Tim O' Shannassy (Paradise Motel, MJ Halloran) à la batterie et Andrew Watson (Charlie Marshall and The Body Electric, MJ Halloran, The Man Who Wasn' t There), guitare / violon.
MIDNIGHT SCAVENGERS vont sortir leur premier album sur deux formats, en CD Digipack dès septembre 2016, puis en LP vinyl plus CD inclus courant octobre. Le format CD sera agrémenté de bonus tracks dont notamment des reprises de Tom Waits et Rowland S Howard. Ce premier album verra le jour sur le label Closer Records et sera distribué par l’Autre Distribution.
MIDNIGHT SCAVENGERS seront en tournée européènne (France / Espagne / Italie / Belgique) entre la mi-septembre et le début du mois de décembre.
Revolving around singer/songwriters Johanna Brockman and her partner Dimitri Kucharzewski, Midnight Scavengers are a unique and compelling presence.
Situated between sinister violent beauty and volatile fragmented shyness,
Johanna Brockman, once a member of James McCann’ s Dirty Skirt Band, and The Brian Hooper Band (who opened for Nick Cave And The Bad Seeds on their 2009 Tour) met up with now partner in songs Dimitri Kucharzewski (Nikki Sudden’ s Last Bandits, The Hollowmen) in Berlin in 2011 to create the core of what would become Midnight Scavengers.
After relocating to Melbourne, Australia in 2012, they grew to a five piece with the addition of Jeff Hooker (Brian Hooper’ s band, Kim Salmon, The Darling Downs) on bass, Tim O’Shannassy (MJ Halloran, Paradise Motel, Penny Ikinger) on drums, and Andrew Watson (The Man Who Wasn’t There, Charlie Marshall) on violin and guitar. Midnight Scavengers have become an extremely well respected and recognized band, playing alongside legendary figures such as Spencer P Jones, Kim Salmon, Hugo Race and Ron S Peno among others.
With contributions from well established artists such as Sacri Cuori virtuosi Antonio Gramentieri & and Francesco Valtieri (Toni Delone/ Sacri Cuori), MIDNIGHT SCAVENGERS album is now due to be released in September 2016 on CLOSER RECORDS as a VINYL/ CD + CD BONUS TRACKS & CD Digipack ( featuring Autoluminescent by Rowland S Howard, All The World Is Green by Tom Waits, to mention a couple), and will be touring Europe in September/ October and early December with new songs that will feature their second album that already made it to impress their label contractors Closer.
Closer Records présente : Skin a Buck !Closer Records presents : Skin a Buck!Skin a BuckLP (12 titres) + CD (14 titres) inclusLP (12 tracks) + CD (14 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/446-skin-a-buck.htmlEcoutez ici / Listen here : https://www.reverbnation.com/closerrecords/song/25118978-skin-a-buck-anal-wailFacebook : https://www.facebook.com/Skin-A-Buck-174337935915159/
Imaginez un peu deux space-rednecks allumés, deux frappadingues au look rappelant des bouseux à mi-chemin entre ceux de "Delivrance" ou de "2000 Maniacs", mais qui en lieu et place d'ultra-violence, auraient mis une dose d'humour et de cheap comics dans leur carburateur ...
Mais ne vous méprenez pas, s’ils ont opté pour la formule en duo ce n’est nullement par suivisme moutonnier et pour s’inscrire coûte que coûte dans la mouvance du minimal gang ou autres one man band en vogue depuis quelques années dans les milieux garagistes ou trashy blues en manque de sensation. S’il y a indéniablement du Hazil Hadkins dans leur attitude comme dans les méandres tortueux de leurs esprits perturbés, ils vont bien plus loin musicalement que la simple caricature de chanson et sont parfaitement capables de distiller des hits aux refrains et aux mélodies millésimés.
Nos deux lascars ont décidé de mettre le feu aux poudres avec ce deuxième album (un premier sorti il y a deux ans, auto-produit, sur lequel le staff complet de Closer Records a flashé comme un seul homme ! …), dont la foutraque pochette est ici encore dessinée par Kab, pur allumé et taré du pinceau, descendant tout à la fois de Dubout, Margerin et Gilbert Shelton ! ...
Leur univers déjanté est complété par une série de clips furieux et habités, qui mériteraient à eux seuls la sortie d'un DVD/Blu-Ray.
L'album, brut de décoffrage, a été enregistré par leur pote Dimitri (IDC - Image et son - Studio mobile) , live mais sans public, dans leur Quartier Général "Le Galion" (fameux bar/salle de concerts qui a vu défiler depuis un peu plus de sept ans un bon paquet d'artistes de passage, Kid Congo, les Cosmic Psychos, Ben Vaughn, la fine fleur des groupes des labels Beast ou Closer (The Curse par exemple), Henry's Funeral Shoe, The Bonnevilles, j'en passe et des meilleures...), donnant à cette bruyante enclave de la cité portuaire autrefois prospère un petit air cosmopolite et interlope digne du Hambourg des années soixante ...
Osez, usez de ce boucan d'enfer de ce "Two Men Band",qui vous prouvera qu'à Lorient, il n'est plus seulement question de pêche aux harengs...
Imagine, if you can, two outerspace-rednecks gone beserk; two freaks who proudly channel the spirit of "Deliverance" and "2000 Maniacs", but with a fuel injection of humor and cheap space-comics etiquette in place of ultra-violence...
But make no mistake, if they have opted for the duo formula, that is by no way a sheeplike followership nor surfing in the wake of the minimal gang or other one man band trend en vogue during the past years among garage or trashy blues alumni, hungry for easy sensations. If –undoubtedly- one could notice some Hazil Hadkins traces in their attitude, as well as in the tortuous meanderings of their disturbed minds, they go much further ahead of the simple musical caricature song, and are perfectly able to distill hits with vintage choruses and melodies.
Our two lads are setting the house on fire with their second album (the first ‘self-produced’ title released two years ago was adopted by the whole Closer staff! ), whose nutty cover is again designed by "Kab", a pure hit crazy gonzo too, reminiscent of either Dubout, Margerin or Gilbert Shelton! ...
Their loony world wouldn't be complete without a series of furious and inhabited video-clips, which alone should deserve the release of a DVD / Blu-Ray.
The album, rough around the edges, was recorded by their pal Dimitri (IDC-image and sound - mobile studio) in their "Le Galion" headquarters (a famous bar/concert hall which has hosted for more than seven years the likes of touring artists, Kid Congo, The Cosmic Psychos, Ben Vaughn, and various bands from Closer or Beast labels (example : The Curse), Henry's Funeral Shoe , The Bonnevilles -, and so on ...), giving this noisy enclave of a once prosperous port city a small cosmopolitan and interloping mood, worthy of Sixties' Hamburg ...
Give the devilish storm which is this "Two Man Band", and they will prove to you that Lorient is just not about herring fishing*
( * frenchy private joke based on an old naughty song..)...
Closer Records présente : The Split Squad !Closer Records presents : The Split Squad!The Split Squad « Now Hear This »LP (13 titres) + CD (13 titres) inclusLP (13 tracks) + CD (13 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/426-the-split-squad-now-hear-this-.htmlEcoutez ici / Listen here : https://www.reverbnation.com/closerrecords/song/24746946-the-split-squad-now-hear-thishttp://www.thesplitsquad.com/index.php?page=cdsSite : http://www.thesplitsquad.com/Facebook : https://www.facebook.com/TheSplitSquad/?fref=ts
Conçu en 2011 autour de breuvages divers, cocktails , vin ou bières, The Split Squad est un de ces putains groupes de rock and roll , une bande de musiciens qui ont tout fait et plus rien à prouver. Sans vantardise aucune, leur pedigree rassemble environ 140 ans d’expérience Rock’n’roll , de salles de concert en bouges infâmes. Ces gars-là y ont croupi avec délectation :
Eddie Munoz : Connu tout particulièrement pour sa participation étincelante dans les légendaires Plimsouls de Los Angeles , on l’a repéré récemment Eddie dans The Magic Christian ( aux côtés de la légende des Flamin’ Groovies Cyril Jordan ), ou dans les plus power pop Parallax Project . La guitare d’Eddie, toujours à la limite de la « Théorie du Chaos » , est unique et instantanément reconnaissable, tout en restant enracinée dans l'arrogance intemporelle des Stones ou des Yardbirds
Clem Burke : Sans doute l'un des plus grands batteurs de rock de la planète, le Dr. Burke ( Googlez moi çà, c’est cool ! …) affiche un CV commençant au CBGB'S des années 70 et se terminant au Rock and Roll Hall of Fame. Tout à la fois membre fondateur de Blondie et musicien de session très convoité, Clem est rompu aux arcanes de l' industrie musicale , mais il a encore en lui, plus que tout autre musicien de son âge, cette passion de "monter dans le van et d’aller à la rencontre des fans". Pour dire les choses simplement, il n'y a personne de comparable ici-bas à Clem ...
Michael Giblin : Bassiste / chanteur, Giblin est le savant fou qui tient les manettes de The Split Squad , projet assemblé dans le prolongement de son groupe Parallax Project, avec lequel il avait croisé tous les autres au gré des différentes tournées et sessions d'enregistrement . Connu dans le circuit de l’underground pop des 90’s en tant que membre du trio power pop Cherry Twister , Giblin a passé de nombreuses années à bosser dur dans les entrailles du music business en tant que bassiste de studio, chef d'orchestre , producteur, et plus généralement « bon gars ».
Keith Streng : Connu et reconnu en tant que membre fondateur de l'un de ces groupes rock dont la reconnaissance universelle n’a d’égale que la longévité, The Fleshtones , le guitariste Keith Streng met à disposition du projet une passion et un dévouement que bien peu seraient en mesure d’apporter. 30 ans au compteur (et ce n’est pas fini) , The Fleshtones restent une des plus sûres valeurs du rock : jamais un mauvais gig , jamais une nuit de repos . Ils sont tout aussi indestructibles qu’excitants. Son statut de musicien « solide comme le roc » combiné avec son jeu de scène acrobatique et décalé, se complètent pour offrir l’une des expériences live les plus jouissives. Il y a eu des bouquins écrits, des documentaires tournés sur lui aussi. En un mot ... une institution.
Josh Kantor : l’homme derrière les claviers, Josh Kantor, apporte la plus sauvage des diversités à l'ensemble. En tant que membre des Bostoniens Jim’s Big Ego, et de The Baseball Project , supergroupe reconnu par la critique (réunissant des membres de Dream Syndicate et REM ), Josh a côtoyé un certain nombre de sommités du rock , mais il parvient toujours à trouver du temps pour assurer son job principal, qui se trouve être le boulot d’organiste dans les Red Sox de Boston. Josh leur apporte un niveau de compétence et un vocabulaire musical que très peu peuvent égaler.
Le groupe s’est réuni à Boston durant l'été 2012 pour y enregistrer un album, qui s’est transformé peu à peu en une bonne partie de plaisir, pêchue et hilarante. Produit par Scott McCaughey ( REM , Minus 5 , Young Fresh Fellows ), cet album comprend aussi une belle brochette d’ invités, Mc Caughey , l’ autre lauréat du Rock & Roll Hall of Fame Peter Buck ( REM ) , Hugo Burnham ( Gang of Four ) , et Mike Gent ( The Figgs ) . L'assemblage de chansons qui en résulte est un voyage fougueux et diversifié à travers les influences et les collections de disques respectives de ces musiciens honteusement expérimentés. Et là, mec ! … tu devrais déjà connaître la chanson ...
Ladies and Gentlemen ... The Split Squad ...
Conceived over cocktails, wine, and beers in 2011, The Split Squad is one of those “perfect storm” rock and roll bands that comes from a bunch of musicians who have done it all and have nothing to prove. While that may sound a bit boastful, the pedigree here covers about 140 years of collective rock and roll experience, from the most rarified of concert halls, down to the seediest of underground shit holes. These guys have both reveled and wallowed in it:
Eddie Munoz: Most famously known as the flash guitarist from LA’s legendary Plimsouls, Eddie has more recently been spotted in Magic Christian (alongside Flamin’ Groovies legend Cyril Jordan) and PA’s power pop stalwarts Parallax Project. Eddie’s “chaos theory” approach to rock and roll guitar is unique and immediately recognizable, yet squarely rooted in the timeless swagger of The Stones and The Yardbirds.
Clem Burke: Arguably one of the greatest living rock and roll drummers on the planet, Dr. Burke (Google that…it’s cool) boasts a resume that starts at CBGB’s in the 70’s and ends at The Rock and Roll Hall of Fame. As a founding member of Blondie and a highly sought-after session musician, Clem has experienced nearly every aspect of the music business, but still has more passion to “climb in the van and take it to the fans” than most musicians half his age. To put it bluntly, there is no one on Earth like Clem…
Michael Giblin: Bassist/singer Giblin is the mad scientist behind The Split Squad, having assembled the project after his current band, Parallax Project, had crossed paths with all of the others on various tours and recording projects. Known in underground pop circles as a member of the much loved 90’s power pop trio Cherry Twister, Giblin has spent many years toiling away in the bowels of the music biz as a session bassist, band leader, producer, and generally good guy.
Keith Streng: Known far and wide as a founding member of one of rock and roll’s greatest (and longest running) institutions, The Fleshtones, guitarist Streng sets a standard for passion and dedication that few are able to follow. 30 years on (and counting), The Fleshtones remain one of rock’s greatest “sure things”: never a bad show; never an off night. They are as dependable as they are exciting. His rock-solid musicianship, combined with his high-wire stage antics, combine to anchor one of rock’s most joyful live experiences. He’s had books written about him, and documentaries shot on him. In a word…an institution.
Josh Kantor: Keyboardist Josh Kantor brings the wildest diversity to the mix. As a member of Boston’s Jim’s Big Ego, and the critically acclaimed supergroup The Baseball Project (featuring members of The Dream Syndicate and R.E.M.), Josh has rubbed elbows with a number of rock luminaries, but he still manages to find time to excel at his day job, which just happens to be as the organist for The Boston Red Sox. Yes, THOSE Boston Red Sox. As such, Josh possesses a skill level and musical vocabulary that few can match.
The group came together in Boston in the summer of 2012 to record an album, which ended up being a raucous and hilarious good time. Produced by Scott McCaughey (R.E.M., Minus 5, Young Fresh Fellows), the album features guest appearances by McCaughey, fellow rock & Roll Hall of Famer Peter Buck (R.E.M.), Hugo Burnham (Gang of Four), and Mike Gent (The Figgs). The resulting set of songs is a spirited and diverse trip through the influences and record collections of a ridiculously experienced set of musicians. And man, you should have heard all the stories….
Ladies and gentlemen….The Split Squad…
Closer Records présente : Tio Manuel !Closer Records presents : Tio Manuel! Tio Manuel «The Ian Ottaway Project» LP (11 titres) + CD (11 titres) + Booklet inclus
LP (10 tracks) + CD (11 tracks) + Booklet included
Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/407-tio-manuel-the-ian-ottaway-project.htmlEcoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/q/6al9p8Vidéo Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=-DqrTr6O61Y&feature=youtu.beFacebook : https://www.facebook.com/TIO-Manuel-215210421896051/?fref=tsSite : http://www.tiomanuel.com/Critique des Inrocks (J.L. Manet) : http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/tio-manuel-the-ian-ottaway-project/
Un esthète aux multiples facettes débarque sur Closer Records en la personne de Manu Castillo aka Tio Manuel.
Ayant fait ses premières armes au sein du mythique combo punk parisien Wunderbach, Tio Manuel prépare son cinquième album à sortir en novembre 2015.
Sortant des sentiers battus de l’écriture classique, ce projet, est une mise en musique des poèmes de Ian Ottaway, webmaster de Black Rebel Motorcycle Club et poète underground américain de haute voltige. Nourri à l’encre incendiaire de la plume de Rimbaud et autre Bukowsky, Ian a pour habitude de balancer ses écrits sur le net comme des bouteilles à la mer. Peiné à l’idée que cette prose sombre et tourmentée se perde inlassablement dans les méandres nébuleux de la toile, Tio Manuel a décidé de pérenniser cet univers en l’incarnant sous la forme d’un recueil de chansons.
Tio Manuel est un artiste mature, accompli, qui a su, en se laissant porter au gré des vents, dessiner son cap au fur et à mesure de ses explorations et de ses expérimentations. Durant ce voyage initiatique fondateur, il a visité avec la plus grande liberté les territoires de la musique punk, du reggae clashien, du ska jamaïcain, du blues, en passant par la country, composant aussi, quand l’envie lui en prenait, dans sa langue maternelle, celle de Cervantès.
Mais, loin d’avoir erré sans but ni finalité propre, il a su extraire la quintessence de chaque courant, l’intégrant et le sublimant, le restituant en le transcendant à la lumière incandescente de sa propre sensibilité, de sa créativité qui ne tolère aucune limite.
Aujourd’hui, Tio Manuel est parvenu à une étape essentielle de son cheminement, de son ascension vers les sphères qui touchent à l’âme. Ses dernières compositions vibrent à l’unisson de son idéal et brillent par leur éclatante profondeur, s’auréolant d’une limpide clarté que n’auraient pas reniée le Howe Gelb d’OP8 ou autre Calexico, ni même les ténébreuses icones de la trempe de Johnny Cash, Chris Bailey, Nick Cave voire Jeffrey Lee Pierce.
A sublime, multifaceted esthetic lands on the doorstep of Closer Records in the form of Manu Castillo; aka Tio Manuel.
Having made his debut with the legendary Parisian punk combo, Wunderbach, Tio Manuel prepares his fifth album due to be released this November.
A departure from classical writing, this project provides a musical setting for the poems of webmaster of Black Rebel Motorcycle Club's Ian Ottaway: high-wire American underground poet. Incendiary ink, born of the pen of Rimbaud and Bukowsky, Ian usually throws away his writings to the Net like message bottles to the sea. Fearing the thought of this dark and tormented prose might be tirelessly lost to the Web's nebulous maze, Tio Manuel decided to perpetuate this universe by embodying it in the form of a songbook.
Tio Manuel is a mature artist, accomplished, who is able, caught by the wind, to chart a musical course along these literary explorations and experiments. In this initial, maiden voyage, he visits the great, free territories of Punk, Clashy-Reggae, Jamaican Ska , Blues, while altogether not losing sight of Country music. He composes, as well when fancy takes him, in his mother tongue, that of Cervantes'!
But far from having wandered aimlessly and without purpose, he knows how to extract the quintessence of each stream, integrating and sublimating , restoring and transcending all to the incandescent light of his own sensitivity and limitless creativity.
Today Tio Manuel reaches a crucial stage of his journey as he rises to the spheres that touch the soul. His latest compositions vibrate in unison with his ideal and conspicuously glowing depth, haloing with such crystal clarity that would not have been denied by the likes of OP8 or Calexico's Howe Gelb, nor darker icons such as Johnny Cash , Chris Bailey, Nick Cave or Jeffrey Lee Pierce.
Closer Records présente : Keith Richard Overdose !Closer Records presents : Keith Richard Overdose! Keith Richard Overdose «Kryptonite is alright» LP (11 titres) + CD (11 titres) inclus
LP (11 tracks) + CD (11 tracks) included
Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/404-keith-richards-overdose-kryptonite-is-alright.htmlEcoutez ici / Listen here : https://keithrichardsoverdose.bandcamp.com/track/ton-punk-rock-de-vieilleFacebook : https://www.facebook.com/keithrichardsoverdose/?fref=tsSite : http://keithrichards.od.free.fr/
Keith Richards Overdose's -"Kryptonite is alright" - Le deuxième fix est prêt à être injecté, vite une aiguille !
Un nouveau disque, toujours la même bouse : Du cuir, des pompes pointues, des jeans serrés et de la défonce.
Du Eddie Cochran sous crack se la jouant Beatles à Hambourg avec des solos de guitares à faire péter les tympans, que demander de plus ?
Si c'est pas votre came, pas d'inquiétude, on ne vous aime pas non plus ...
N'allez pas les voir sur scène, n'achetez pas leurs disques, gardez votre fraîche pour du crack ...
Un message ? : OK: Défoncez-vous, gâchez votre vie et celle de vos amis, et allez vous faire foutre ... Mais sachez garder la classe...
Keith Richards overdose's -"Krytonite is alright" - second fix is ready to shoot, get a needle.
New record, same old shit: Leather, pointed shoes, skinny jeans and drug abuse.
Crack addict Eddie Cochran playing Hamburg era Beatles stuff with high-end ear crushing guitar solos, what more could you ask for?
Play bad and loud, but sure know how to kill themselves with style.
If not the kind of stuff you are in, no worry, we don't like you either.
No need to see them live, no need to buy no records, better save your money for crack.
What message? Ok: Use drugs, spoil your life, disappoint your friends and go get fucked… But stay high-class.
Closer Records présente : The Jones !Closer Records presents : The Jones!The Jones «First Shot» LP (10 titres) / CD (10 titres)
LP (10 tracks) / CD (10 tracks)
LP Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/405-the-jones-first-shot.htmlCD Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/cd/385-the-jones-first-shot.htmlEcoutez ici / Listen here : https://soundcloud.com/thierry-jones-2/the-jones-album-first-shot-nov2015https://thejonesparis.bandcamp.com/releasesVidéo teaser : https://www.youtube.com/watch?v=l0yhbbH5Qyo&feature=youtu.beFacebook : https://www.facebook.com/TheJONESInspiredRock70s/?fref=ts
Qu’est ce que le rock’n’roll si ce n’est une tradition prenant ses lointaines racines dans le blues du Delta et se perpétuant depuis au travers d’une kyrielle d’artistes plus ou moins maudits s’évertuant à réinventer inlassablement des hits adolescents autour des mêmes lignes d’accords mythiques ?
The Jones, quatuor formé en 2010, pour servir à l’origine de backing-band à Chris Wilson, et réunissant notamment aujourd’hui d’ex membres des Bad Losers et des Dogs, se place en digne garant d’une haute lignée remontant à Robert Johnson et s’étalant à travers le siècle dernier des Stones aux Pretty Things en passant par les Flamin’ Groovies et autres T.Rex.
Ne cherchez point ici d’originalité forcenée, de suivisme moutonnier car The Jones se situent exactement aux antipodes de sinistres fashion-victims opportunistes. Les années comme les effets de mode n’ont aucune prise sur Thierry Jones et ses comparses qui, loin de toute velléité mercantiliste, de toute tentation d’éphémère gloriole de quartier, ne varient jamais d’un iota leur braquet. Les temps modernes ne les intéressent pas. S’ils peuvent probablement entendre de la musique d’aujourd’hui ce n’est sûrement pas ce qu’ils prennent plaisir à écouter et encore moins à faire.
Mais, qui pourrait les en blâmer ?
En effet, pourquoi succomber à la tentation du progrès lorsqu’on voit où celui-ci nous mène inexorablement ? Pourquoi se laisser emporter par l’illusion des nécessaires bienfaits de la nouveauté quand on constate tous les jours la dégénérescence des valeurs, la décadence culturelle mettant au ban la créativité artistique au profit de la production de masse stéréotypée ?
Ainsi, The Jones prônent le classicisme dans son élégance la plus épurée et, à la manière d’artisans consciencieux sûrs de leur savoir faire, ils nous plongent, au travers d’une pléiade de standards millésimés, ornementés de savants arrangements de cuivres et de cordes, dans un bain de jouvence des plus bienfaisants, un pamphlet contre le temps qui passe.
Ecoutez « The First Shot » et vous aurez tous les jours 20 ans !
What’s rock'n'roll if not a tradition taking its deeper roots in the Delta blues and perpetuating since through a myriad of more or less cursed artists, tirelessly striving to reinvent teenagers' hits on the groundings o the same lines of mythical chords?
The Jones , a quartet originally created in 2010 to serve as Chris Wilson's backing band, which today includes former members of Bad Losers and Les Dogs, stands as the worthy guarantor of a high lineage going back to Robert Johnson and spreading over the last century , from the Stones to the Pretty Things through the Flamin' Groovies and other T.Rex .
Don't expect mad originality nor herd followership, as The Jones are set exactly the opposite of dark opportunistic fashion victims. No years nor fads have control over Thierry Jones and his mates who, far from any hint of mercantilism, from any ephemeral temptation local vanity, never vary one iota their gear ratio . Modern times are not their concern. If they can probably hear today's music, it's certainly not what they take pleasure in listening , much less to do. But who can blame them ?
Indeed, why succumb to the temptation of progress when we see where the latter leads us inexorably ? Why get caught up in the illusion of the necessary benefits of novelty when every day we see degeneration of values, the cultural decadence putting banished artistic creativity in favor of stereotypical mass production ?
Thus, The Jones preach classicism in its most refined elegance, in the manner of conscientious craftsmen confident in their expertise, they invite us , through a host of vintage standards, decorated with complex brass and strings arrangements , to a refreshing and rejuvenating experience, a pamphlet against time passing by.
Listen to " The First Shot" and you will be 20 forever !
Closer Records présente : Grand Guru !Closer Records presents : Grand Guru!Grand Guru «Collective Suicide» LP (11 titres) + CD (11 titres) inclusLP (11 tracks) + CD (11 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/406-grand-guru-collective-suicide.htmlEcoutez ici / Listen here : http://grandguru.bandcamp.comFacebook : https://www.facebook.com/Grand-Guru-134130783324942/?fref=tsFacebook (Euro Tour) : https://www.facebook.com/events/516299588530281/
Grand Guru fait dans le one man band mais pas par effet de mode ou par attirance particulière pour le genre mais bien plutôt par obligation. En effet, qui pourrait jouer avec lui ?
Son premier album, « Collective Suicide », est un objet si personnel qu’il ne pouvait naître que dans le cerveau tourmenté d’un seul homme.
Absolument noir, résolument extrémiste, métalliquement chaotique, à la croisée du garage expérimental et du boogie industriel, du blues transylvanien et de la noisy psychotique, ce premier opus de Grand Guru est une mise au monde, en forme d’accouchement sans péridurale, des monstres et cauchemars qui hantent notre sorcier rouennais.
Chaque pièce livrée est un tableau polyptique qui s’affranchit de tout académisme, ainsi, Grand Guru s’autorise toutes les libertés dans la mise en musique de son univers singulier : il jongle avec le tempo, complexifie les structures, se joue des harmonies au gré de ses distorsions mentales.
Toujours un peu trash, épileptique voire psychotique, cette bête de scène a fait un effort d’arrangement impressionnant sur cet album tout en tension qui lorgne parfois vers les territoires chers au Greg Sage des Wipers voire au Nick Cave de Birthday Party en passant par les Beats of Bourbons de la période la plus sombre.
« Collective Suicide » est un album surprenant à bien des égards, digne d’une messe noire, de la transe extatique d’un rituel Vaudou qui vous entrainera vers des territoires inconnus.
Grand Guru is into the one man band thing, but not by fashion nor by particular affinity for the genre, but much rather out of obligation. Indeed, who could play with him?
His first album, " Collective Suicide ", is such a personal item that it could only arise out of one man only's tormented brain.
Absolutely black, resolutely extremist, metallically chaotic, at the crossroads of experimental garage and industrial boogie, blues and psychotic Transylvanian noisy, this first Grand Guru opus is brought to the world, without an epidural, in form of birth of the monsters and nightmares that haunt our Rouen-based sorcerer.
Each piece is a delivered polyptic table, freed from all academicism, and Grand Guru therefore allows himself every liberty in the musical setting of his singular universe: he juggles with the tempo, complexifies structures, juggles with harmonies according to his mental distortions.
Always kinda trash, epileptic, even psychotic, our showman has achieved an impressive effort on this album's arrangements, all in tension, sometimes on the merge of territories haunted by Wipers' Greg Sage or even Birthday Party's Nick Cave, evoking as well the darkest moments of The Beasts of Bourbons.
"Collective Suicide" is a surprising album in many ways, worthy of a black mass, of an ecstatic trance of a Voodoo ritual that will lead you to some obscure and unknown territories.
Closer Records présente : The Bratchman !Closer Records presents : The Bratchman!The Bratchman «Until the very end» LP (11 titres) + CD (13 titres) inclusLP (11 tracks) + CD (13 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/403-the-bratchman-until-the-very-end.htmlEcoutez ici / Listen here : https://thebratchman.bandcamp.com/track/think-about-itFacebook : https://www.facebook.com/bratch.thebratchman?ref=ts&fref=ts
Voici donc venir le troisième album d'Olivier “Bratch” Nemejanski, guitariste des cultissimes Dum Dum Boys et à ses heures chanteur/guitariste des Bratchmen, Groovers et Warmbabies.
Enregistré entre la Riviera et les Antilles, en collaboration avec le sorcier des manettes / multi-instrumentiste John Wayne Supermarket (a.k.a. Philippe Gilard), cet opus, outre faire se télescoper les influences récurrentes de Dean Martin, Lee Hazlewood, Lou Reed ou encore Suicide et Jesus & The Mary Chain, ne perce pas un tunnel entre le Wang-Ho et le Yang-Tse-Kiang comme chez Antoine Blondin, mais trace un pont aérien virtuel entre la Tramontane et les Alizés, pour une bacchanale d'une nonchalance délicieusement opiacée, à laquelle s'invitent tour à tour des musiciens de divers horizons (en vrac Don Joe d’ Indian Ghost, Sheri Corleone de Bang Bang Band Girl, Pierre "Choum'" Chaissac de Cantharide, le Canadien Franco Caré, Memphis Electronic, Karyn "Brunella Non!", Cédric Lauer, Marc Galliani, Fabien Molina et la trompette magique de Cédric Lauer...).
La voix à la fois profonde et acidulée du Bratch nous transporte dans des ambiances noisy pop décalées , "Think About It" et son orgue aigrelet, "Hard To Believe", "Don't Want To See You Here At All" où les fantômes de Lou Reed et de Peter Perret viennent gentiment nous chatouiller. Nous ne décortiquerons pas les titres un par un, mais comment faire pour résister au délicieux rockabilly fuzzy et géométrique de "Higher And Higher", à cette reprise tellement évidente de cet autre faux dilettante de génie (Kevin Ayers) "Singing A Song In The Morning", ou encore à celle de "Kathryn" à la ritournelle envoutante échappée d’une obscure compile d’un cador du bricolage low-fi , Charles Douglas.
C'est aujourd'hui disponible chez vous, via Closer Records, et pas encore, ou peu s’en faut, remboursé par la sécurité sociale …
So here comes Olivier "Bratch" Nemejanski’s third album, of cult Dum Dum Boys’ fame, and sometimes singer / guitarist for bands such as Bratchmen, Groovers and Warmbabies.
Recorded between the Riviera and the Caribbean, in collaboration with the soundboard wizzard / multi-instrumentalist John Wayne Supermarket (aka Philippe Gilard), this album, in addition to recurring telescoped influences of Dean Martin Lee Hazlewood, Alex Chilton, or Suicide and The Jesus & Mary Chain, does not open ,as Antoine Blondin would say, a tunnel between Wang-Ho and Yang-Tse-Kiang, but draws a virtual air bridge between the Trade Winds and the Tramontana, for a deliciously opiate indolent bacchanal, which in turn will invite musicians from different backgrounds (Indian Ghost’s Don Joe, Bang Bang Girl Band’s Sheri Corleone, Cantharide’s Pierre "Choum" Chaissac, Canadian Franco Caré, Memphis Electronic, Karyn "Brunella No!", Marc Galliani, Fabien Molina and Cédric Lauer & his magic trumpet ...). Bratch’s voice both deep and candy, drives us into shifted noisy pop environments, "Think About It"and its tart organ, "Hard To Believe", "Do not Want To See You Here At All" where ghosts Lou Reed and Peter Perret come gently tickle us. We do not wish to enumerate all titles one by one, but how one can resist to the delicious fuzzy and geometric rockabilly of "Higher And Higher", to the cover of that other fake dilettante genius (Kevin Ayers) "Singing A Song In The Morning”, or that of “Kathryn" , which captivating refrain sparks from a dark compilation of a low-fi DIY genius, Charles Douglas.
It is now available to you via Closer Records, and not, albeit close to, reimbursed by Social Security!
Closer Records présente : The Trap !Closer Records presents : The Trap!The Trap «Is set!»LP (13 titres) + CD (13 titres) inclusLP (13 tracks) + CD (13 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/319-the-trap-is-set.htmlEcoutez ici / Listen here :http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/23349481-the-trap-pay-no-mindVideo : https://www.youtube.com/watch?v=DKRQjXk1Xf0&feature=youtu.beFacebook : https://www.facebook.com/thetrapch?fref=tsSite : http://www.thetrap.ch/bandb.html
Quelle ne fut pas notre surprise, teintée d’excitation, lorsque nous découvrîmes, par un beau matin de mars 2014, « Is Set ! », premier album de ce combo Helvète directement issu des lointaines 70’s.
C’était comme si un méchant grain de sable avait inversé les rouages du continuum espace-temps, aidé en cela par le bon air des cimes ainsi que la barrière des Alpes… Nos cinq énergumènes aux dégaines tout droit sorties d’Easy Rider ont su, et l’on ne saura jamais par quel maléfice, se préserver des rigueurs du temps qui passe et bloquer irrémédiablement leur compteur en une époque bénie où le riff tendance biker de Steppen Wolf forniquait allègrement avec les envolées incendiaires du J Geils Band et autres Mott The Hopple !
Ajoutez à ces nobles fondations une pincée de punk cambouis façon Motorhead, le zèle des Datsun, quelques vicieuses rafales d’harmonica rythm’n’blues en mode décadent, posez le tout sur un beat lourd de type Jurassic Park et vous obtiendrez cet élixir de jouvence testostéroné à l’extrême que nous offre The Trap tout au long de ces 13 titres aux allures millésimées.
Vous comprendrez donc aisément que nous n’avons pas pu résister une seconde à l’idée de sortir une édition française de cet album de rock’n’roll hardi et rugueux qui saura vous prendre aux tripes tout en passant vos chastes oreilles à la toile émeri !
With a mixture of surprise and excitement, on a beautiful morning last March, we discovered, The Trap’s “Is Set! ”, the Helvetian combo’s first album, exquisitely and deeply rooted in the 1970’s: as if the sands of the space-time hourglass had been instantly reversed, aided by the fresh, isolated Alpian air…
These five rowdy characters, sporting the “Captain America” and “Billy” look straight out of “Easy Rider”, through some witchcraft are able to preserve time and their unwavering beat - the carnal, bastard child of Steppenwolf, J. Geils Band and Mott The Hoople!
Add to these noble foundations a dash of dirty punk oil à-la Motorhead, the zeal of The Datsuns, some vicious gusts of Rhythm'n’Blues harmonica in declining mode, and then drop the entire happy mess into a heavy Jurassic Park hype and you will get close to this testosterone-filled elixir of youth that The Trap, within these 13 vintage tracks, have captured.
Not hard to understand why we couldn’t resist, for one second, the chance to release a French edition of this Rock'n’Roll album: full of boldness and roughness that will tug at your gut while scratching your naked ears with gritty sandpaper!
Closer Records présente : Indian Ghost !Closer Records presents : Indian Ghost!Indian Ghost «Lost far gone»LP (10 titres) + CD (10 titres) inclusLP (10 tracks) + CD (10 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/320-indian-ghost-lost-far-gone.htmlEcoutez ici / Listen here :http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/23349340-indian-ghost-land-my-fatherVideo : https://www.youtube.com/watch?v=3H3mONNnEeUFacebook : https://www.facebook.com/pages/Indian-Ghost/142831442438746?fref=ts
Indian Ghost est un groupe toulousain discret et à l’élégance rare, toujours en équilibre entre perfectionnisme obsessionnel et dilettantisme chronique. Il nous offre avec « Lost far gone » son cinquième album en 22 ans. Si la productivité comme le rendement demeure à 10 000 lieues de leurs préoccupations, leur discographie s’étalant sur deux siècles, la qualité, elle, est toujours optimale tant ici nous avons affaire à des artisans dont le soin et le rigorisme virent à l’orfèvrerie voire à l’horlogerie de précision chère à nos voisins Helvètes.
Comme à chaque livraison, Indian Ghost nous gratifie d’un album complexe et simple à la fois. Chaque pan de mur de l’édifice présente ses propres enluminures, son architecture originale, mais toutes les facettes s’emboitent méthodiquement à la fin pour constituer un monument singulier, scintillant de puissance émotionnelle, à l’évidente harmonie et à la justesse difficilement accessible.
« Lost far gone » esquisse d’emblée le plan de masse avec « Land of my Father », en forme d’hymne dégingandé, le langoureux et sexy « Psycho Medicine Blues » lui succède en nous offrant une facette plus intimiste de leur art, ornementée de bande à l’envers hypnotiques, afin de bien rappeler que nous n’avons pas affaire à de vulgaires arpètes mais bien à des bâtisseurs de pop music chevronnés.
S’ensuit le très Supersnazzien « Everyday you have to die », sur lequel on s’attend à chaque encoignure de couplet à voir débarquer le remuant fantôme de Roy Loney. Arrive le morceau de bravoure de l’album, « Girl on a Motorcycle », au beat lent et posé sur lequel s’entrechoquent, dans un carrousel spectorien aux pigments bigarrés, des volutes de guitares douze cordes, des trompettes vaporeuses et un piano copulant à l’envie et au mépris de la plus élémentaire moralité, avec des chœurs baignés d’une sirupeuse reverb. Vient ensuite, pour clore la première face, « I Whistle you come to me » porté par un Farfisa aux effluves transylvaniennes pimentant la ritournelle de saveurs acides et décadentes que n’auraient pas renié les grands échalas de 22-Pistepirkko.
Le temps de retourner l’objet et on repart pied au plancher avec « 06 77 Club », au refrain imparable, qui s’impose comme le second hit bankable de « Lost far gone ». « Statue Girl », balade vespérale qu’aurait pu pondre Lee Hazlewood lors d’un crépuscule automnal entre Grandes Plaines et Monts Ozark, s’immisce ensuite dans le bal pour parsemer l’atmosphère d’un peu plus encore de nostalgie contemplative avant que ne survienne « Killing or Loving », dont la ligne d’orgue transalpine ensoleillée joue un surprenant contre point avec un riff de guitare estampillé Neil Young. « One Day in the Summer », flânerie lancinante en mid-tempo, nous renvoie ensuite au temps des premiers Indian Ghost, quand la logique architecturale s’articulait autour d’une structure ascensionnelle vous promenant progressivement des vallées sereines d’un couplet vers les cimes escarpées d’un refrain auréolé de chœurs aériens. Pour que l’œuvre soit achevée il fallait une flèche vers les cieux, un vestibule vers les sphères spirituelles, et c’est le somptueux « White Horses », ode poignante et éthérée à la fois dont aurait pu nous gratifier Nick Cave, qui se charge de vous donner l’ultime frisson en vous saluant bien bas.
Mais, à vrai dire, tenter de traduire en mots la profondeur émotionnelle qui règne en les sillons de « Lost far gone » n’a pas vraiment de sens… Ecoutez-le et vivez-le tout simplement !
Indian Ghost is a discreet group from Toulouse, of rare elegance, always at the border of obsessive perfectionism and chronic dilettantism. They have delivered "Long Far Gone", their fifth album in 22 years. With a lack of concern over productivity, and a discography spanning over two decades, as always, the product is high quality as we are dealing with artisans, whose care and perfectionism we oft see in fine silverware or even precision watchmaking; our Helvetii neighbors.
As is the case for each of their releases, Indian Ghost offer us an album as complex as it is simple. Each wall of this musical construction has its own illumination, its unique architecture, yet all aspects fit together methodically in the end to form a singular monument, scintillating, emotionally powerful with an obvious harmony and inaccessible correctness.
From the outset, "Lost Far Gone" sets the tone with "Land of my Father" a shapely, lanky anthem, languorous and sexy. Soon followed by "Psycho Medicine Blues”, which focuses on a more intimate side of their art, ornamental with its hypnotic backwards loops, to remind us that we are not dealing with average soldiers but rather with pop music veteran builders.
The very Supersnazzian "Everyday You Have to Die”, has you expecting an encounter with Roy Loney’s restless ghost at each verse’s corner. Then comes the highlight of the album, "Girl on a Motorcycle", with its slow and grounded beat into which collides, in a Spectorian colorful pigmented carousel, lush twelve string guitars scrolls, trumpets and a vaporous piano copulating envy and contempt of the most basic morality, bathed in syrupy reverb vocals. Closing the A side, "I Whistle You Come to Me", carried by a Farfisa whose Transylvanian waves spice up the refrain, acidic and decadent flavors that would not have been disowned by those big stakes 22-Pistepirkko.
Swinging to the B side, we come back full speed ahead with "06 77 Club", whose unstoppable refrain easily wins the status of the second bankable hit off of "Lost Far Gone". "Statue Girl", a hymnal ballad Lee Hazlewood could have delivered during an autumn twilight prayer between the Great Plains and the Ozarks, which sprinkles the atmosphere with a little contemplative nostalgia before the next track, "Killing Gold Loving", whose sunny transalpine organ plays against a surprisingly Neil Youngish guitar riff. "One Day in the Summer", a mid-tempo nagging stroll, reminiscent of early Indian Ghosts, when the architectural logic was built around an upward structure gradually guiding you to serene valleys and steep peaks in a haloed choir of chorus.
As if to wrap things up with an arrow shot straight to Heaven, a vestibule to the spiritual spheres, along comes the sumptuous "White Horses", a poignant and ethereal ode this side of Nick Cave, that gives you the ultimate thrill whilst greeting you very low.
In fact, if you attempt to put into words the emotional depth that emanates from the lovely grooves of "Lost Far Gone" is an exercise in futility ... Listen to it and live it all!
Videos : https://www.youtube.com/watch?v=Fp6_6R-ZDC0https://www.youtube.com/watch?v=zFNnFHSLDCISite : http://chaissacpierre.wix.com/cantharide
Et voici un des évènements de l’année en cours chez Closer Records : la sortie du nouvel album de Cantharide. Après « Do the Bzzz !!! », leur premier opus renversant tant par la qualité et la fraicheur de ses chansons que par l’intelligence de son orchestration, nous n’en pouvions plus d’attendre l’avènement de ce fameux « A bridge to build » ! Si l’on ne tenait compte que des apparences on pourrait qualifier Cantharide de pop band mais ce serait tellement réducteur… Certes, l’érudit saura retrouver quelques réminiscences veloutées de Neil Young, Guided by voice ou autre Bob Mould, dont l’ectoplasme n’a jamais cessé de roder autour de Pierre « Choumy » Chaissac, mais l’essentiel n’est pas là tant le spectre visité par Cantharide est large et s’étend ici des Buzzcocks aux Beatles en passant par Syd Barrett !
Ce quatuor est en fait libre comme l’air, affranchi de toute influence ; autour des titres écrits par Pierre, la tribu fonctionne comme un mini kolkhoze, comme une vraie équipe qui n’a de cesse de réfléchir pour trouver la solution la plus adéquate, efficace, en se mettant toujours au service des chansons, pierres angulaires du projet Cantharide.
Près de six mois ont été nécessaires à l’enregistrement et au mixage de cet album fait maison entre Charente-Maritime et Caraïbes. Le travail de composition comme de réalisation est pensé en ses moindres détails afin que chaque élément trouve naturellement sa place. Or, comme chacun sait, il n’y a rien de plus difficile que d’être simple, en cela cet album représente le fruit d’un labeur implacable, quasi stakhanoviste, la recherche d’une certaine forme de perfection dans l’évidence. « A bridge to build » ne laisse pas de place à la contingence, à l’étalage, il va à l’essentiel, au nectar en s’interdisant toute enluminure qui ne coulerait pas de source.
« A bridge to build » est ainsi conçu comme un tout, un album d’une lumineuse clarté qui a su acter le verbe, graver dans le vinyle le concept initial en jouant sur les sonorités, les harmonies, le placement des voix autant que sur les rythmiques, les structures des morceaux et les atmosphères afin que le résultat soit le plus lisible possible, le plus fidèle à l’idéal musical qui anime nos quatre acolytes.
A la fois sec comme un coup de trique, aérien quand la chanson l’exige, exigeant, humble et aventureux à la fois, cet opus est un chapelet de petites perles à l’éclat sans cesse renouvelé, une succession de ritournelles intimistes mais bruyantes, une tranche de vie d’une authenticité confondante incluant une histoire de fille par titre, qu’elle soit triste ou joyeuse…
Un instantané de l’absolue sincérité d’un groupe à découvrir de toute urgence !
Here comes one of this year's major events from Closer Records: the release of the new Cantharide album. After "Do the Bzzz !!!", their epic debut, which astounds with both quality and freshness in its collection songs or by the intelligence inherent in its orchestration, we could no longer wait for their follow up, “A Bridge to Build"!
Not to judge a book by its cover, Cantharide some might describe as a pop band, but it would not do them justice... Certainly, the scholarly amongst us would make some velvety Neil Young, edgy Guided By Voices or Hüsker Dü comparisons, the ectoplasm of the latter has never stopped lapping around Peter "Choumy" Chaissac. Yet the most important is not there as the inhabited Cantharide spectrum is wide and extends from the Beatles to the Buzzcocks via Syd Barrett !
This quartet is actually as free as air, void of any influences; with tracks penned by Peter, the tribe operates as a mini kolkhoz; like a real team that never stops the search for the most appropriate, effective solution, always remaining at the songs' disposal, the cornerstone of the Cantharide project.
Nearly six months of recording and mixing went into this home-made album, between Charente-Maritime and the Caribbean. Composition and performance went into every detail of this album so that each element has its place. Now, as everyone knows, simplicity can sometimes be quite hard; in that respect this album is the result of relentless toil, almost Stakhanovite, looking for some kind of perfection in evidence . "A bridge to build" leaves no room for contingency, shoplifting, it goes to the point, to the nectar, by avoiding any illumination that would not flow naturally.
"A Bridge to Build" in its entirety, is an engine of a luminous clarity that knows how to enact the verb, engrave the vinyl with the original concept of playing with sounds, harmonies, placement of voices and rhythms, the song structures and their atmospheres, so that the result is as legible as possible, most faithful to the musical ideal that emanates from our four acolytes.
Either skin and bone, aerial when the song requires, rigorous, humble and adventurous at the same time, this album is a string of pearls, dazzling, a series of intimate but noisy tunes, a slice of life in a confusing authenticity including one girl story per track, be she sad or joyful ...
A snapshot of the absolute sincerity of a band that shall be urgently discovered !
Closer Records présente : The Last Killers !Closer Records presents : The Last Killers!The Last Killers « Dangerous»LP (12 titres) + CD (12 titres) inclusLP (12 tracks) + CD (12 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/312-the-last-killers-dangerous.htmlEcoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/23181736-the-last-killers-dangerous?1336410755
Toujours plus acharnée, l’équipe Closer Records s’est mis en tête de ratisser le monde et l’Europe en particulier afin d’y dénicher les perles les plus sauvages et de vous les offrir.
Après Bruce Joyner (USA), The Curse (Suède), Peter Zaremba (USA), Crummy Stuff (Canada), Primevals (Ecosse), The Dark Rags (Grèce), The Trap (Suisse) … voici que déboulent à présent The Last Killers, un quatuor hirsute et sanguinaire originaire de Ravenne en Italie.
Si le background comme les précédents opus du gang fleuraient bon les obédiences garage 60’s les plus nobles, The Last Killers ont creusé ici le sillon de l’histoire du rock’n’roll pour faire la part belle à la sauvagerie classieuse chère à Little Richard et autres Sonics et reprendre le flambeau d’une lignée dont les derniers représentants se nommaient Jim Jones Revue.
Avec « Dangerous » nos transalpins laissent leurs démons se déchaîner sans retenue et nous envoient à la face une rafale de hits de première bourre ! Les lignes d’orgues 60’s qui hantaient leurs premiers efforts laissent de plus en plus la place à de frénétiques parties de piano en mode Jerry Lee, le beat se simplifie pour cogner droit à l’essentiel sans fioriture ni effet de manche, les guitares pétaradent en tous sens, fuzzées et distordues, les vocaux teigneux et enragés vocifèrent comme au bon vieux temps de Gerry Roslie…
Vous l’aurez compris, tous les ingrédients sont réunis pour faire un album de pur rock’n’roll hargneux, combatif et tendu à l’extrême comme un Jake Lamotta sous amphètes !
Increasingly fierce, the Closer Records Team has it in mind to comb the world over: Europe in particular to find the wildest R'N'R pearls and offer them up to you; Bruce Joyner (USA), The Curse (Sweden), Peter Zaremba (USA), Crummy Stuff (Canada) Primevals (Scotland), The Dark Rags (Greece), The Trap (Switzerland) ... Now here they are ... The Last Killers, a shaggy and bloodthirsty quartet from Ravenna, Italy.
If their background, in addition to the gang's recent efforts, smelt of the noblest of 60's Garage persuasions, The Last Killers channel the history of the Rock'n'Roll groove as homage to the classic savagery of Little Richard or The Sonics and bear the torch last carried by none other than the Jim Jones Revue.
With "Dangerous", our Trans-Alpiners unleash their demons without restraint and fire off a flurry of hits right out of the gate! The 60's organ lines that haunted their first release leave more room for frantic piano parts (à la "The Killer", Jerry Lee Lewis), the beat gets straight to the point without embellishment or flourish, the guitars spread in all directions, fuzzy and distorted, the nasty and rabid vocals erupt, reminiscent of the good ol' Gerry Roslie days...
As you can see, all the ingredients are gathered here for a pure & wild Rock'n'Roll album, combative and extremely tense, like Jake Lamotta on speed!
Closer Records présente : Three Headed Dog !Closer Records presents : Three Headed Dog !Three Headed Dog « Howling at the sun »LP (9 titres) + CD (9 titres) inclusLP (9 tracks) + CD (9 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/304-three-headed-dog-howling-at-the-sun.htmlEcoutez ici / Listen here : http://3headeddog.bandcamp.com/track/danger-zone
Three Headed Dog, trio issus des cendres sulfureuses de Dimi Dero Inc. et autres Holy Curse, se démarque du reste de la meute par son équité parfaite. En effet le combo est constitué de trois hommes debout, y compris le batteur qui s’oblige à de bien complexes contorsions pour assumer un beat aussi testostéroné que léché dans une pareille position. Par ailleurs, ici tout le monde chante, les trois ego s’unissent au sein d’un seul et même corps pour déverser en salves continues une musique emplie de fuzz sur fond de rythmiques tribales idéales pour vos orgies au fond du bush.
Après un premier single saturé et tendu à l’extrême, « The Gospel of the Iron Groove », le triumvirat poursuit son chemin avec assurance et dextérité pour nous livrer un 9 titres des plus dépouillé. A la différence de Cerbère, mythique gardien du royaume des morts, ce n’est pas avec un gâteau au miel qu’on peut les dompter ou les adoucir tant leur musique s’impose brute de décoffrage, ces gars ne font pas dans la sucrerie pop ou la confiserie doucereuse mais bien plutôt dans le rock’n’roll en fusion, mordant, celui qui vous broie le jarret sans jamais desserrer ses mâchoires.
La configuration singulière de la batterie apporte une touche tout à fait novatrice à la section rythmique en créant le surnombre dans les basses, la ferraille se faisant fort discrète le son général s’épaissit, le beat devient plus mécanique, grave, et tout riff de guitare, toute saillie dans les aigus prend alors une dimension des plus dramatiques.
Three Headed Dog sait jouer sur cette dichotomie et jongle sans cesse entre les ambiances contradictoires, les antagonismes, les oppositions tout au long de ces 9 plages hétéroclites où le groupe peut passer d’un groove s’étirant sur plus de six minutes à un titre d’un classicisme péremptoire calibré sur trois couplets/refrains en moins de trois minutes.
Notre Cerbère, sans pour autant se transformer en kangourou à 3 têtes, reste aujourd’hui le plus australien des groupes français.
Les ombres des Beasts of Bourbon, de Spencer P. Jones mais surtout des New Christs planent toujours omniprésentes au dessus du berceau, si l’on ajoute que les invités sur le disque se nomment Brent Williams (New Christs), Tamara Dawn et Stacey Coleman (Hits) tout le monde aura compris que «Howling at the Sun » lorgne plus vers le tumulte orageux de Brisbane ou de Sidney que vers le crachin monotone de la perfide Albion.
Gardiens et garants d’un rock’n’roll brut et sans concession enfanté dans les lointaines steppes australes, Three Headed Dog frappe vite, fort et surtout là où ça fait mal !
Un disque brûlant et mature à la fois !
Closer Records presents : Three Headed Dog !Three Headed Dog « Howling at the sun »LP (9 tracks) + CD (9 tracks) includedDisponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/304-three-headed-dog-howling-at-the-sun.htmlEcoutez ici / Listen here : http://3headeddog.bandcamp.com/track/danger-zone
Three Headed Dog, a trio stemming from the sulfurous ashes of Dimi Dero Inc. and Holy Curse, distances itself from the rest of the pack by its perfect equity. Indeed the combo is built on the shoulders of three stout men, the drummer of which is required to make intricate contortions to master his manly beat from such an awkward position. Furthermore, everybody in the band sings, the three spirits joined to make one voice to emit a continuous flow of fuzz-filled music, chock full of tribal rythms ideal for your orgies in the heart of the bush.
Following their first single, saturated and tense to the extreme, "The Gospel of the Iron Groove ", the triumvirate confidently and deftly deliver us a highly stripped down collection of 9 epic tracks. Unlike Cerberus, the mythical keeper of the kingdom of the dead, there's no taming them with the offer of a honey cake; their music imposes itself brutally, these guys don't deal with sweet pop nor honey-coated candy, but rather with merging and biting rock'n'roll, one that grinds the hock without ever loosening its grip.
The peculiar shape of the drums brings a completely innovative note to the rhythm section by creating extra deep bass tones, the scrap metal making general sound thicker, the beat becomes more mechanical and grave, and any guitar riff, any sharp projection reaches achieves dramatic effect.
Three Headed Dog plays on this dichotomy and continuously juggles between contradicting ambiences, antagonism, oppositions throughout these 9 heterogeneous tracks where the band can pass from a groove stretching over more than six minutes in a title of a peremptory classicism calibrated on three verses / refrains in less than three minutes.
Our Cerberus, without being transformed therefore into a three head kangaroo, today remains the most Australian of the French groups.
The shadows of The Beasts of Bourbon, of Spencer P. Jones but especially of The New Christs glide always omnipresent above the cradle, and if we add that the guests on the disc are none other than Brent Williams (New Christs), Tamara Dawn and Stacey Coleman (Hits), everybody will understand that "Howling at the Sun" moves it's eyes up towards Brisbane's or Sydney's stormy turmoil than towards the monotonous drizzle of the perfidious Albion.
Guards and guarantors of one rock’n'roll crude and without concession, born in the far southern steppes, Three Headed Dog knocks, quickly, heavily and especially where it hurts!
A MILF of a record; as hot as mature!
https://soundcloud.com/guttercats-1/without-you-im-nothinghttps://soundcloud.com/guttercats-1/aint-goin-nowhere
Après deux albums de haute volée, «Pandora's Box» (2008) et «Black Sorrow» (2011), le gang à géométrie variable articulé autour de Guts Guttercat revient en force avec ce troisième opus d’une classe rarement atteinte en nos contrées. Enregistré à Paris, mixé en Bretagne par Jean-Louis Réglain, masterisé à Birmingham dans le fameux studio de John Rivers (Swell Maps, Jacobites, Love & Rockets, Buzzcocks...), la mécanique est indéniablement bien huilée sur ce troisième album. Les guitares acoustiques et électriques se fondent le plus naturellement du monde pour dresser une couche somptueuse à un savant enchevêtrement de ballades et Rock'n'Roll songs dans la pure tradition anglaise. Les arrangements subtiles de piano ou d'alto confèrent noblesse et mélancolie à l’ensemble. Laissez vous donc happer par cet étrange carrousel échafaudé pour ne laisser que de maigres instants de répit, tant les accalmies de cet album ne sont présentes que pour mieux vous entrainer dans les tourbillons qui leur succèdent implacablement. Les différentes étapes de cette ballade en forme de Road Movie crépusculaire se nomment «Ain't Goin' Nowhere», croisement illicite entre Johnnys, E.Morricone et J.Thunders, «Death &The Girl», «Dead Love's Shadow», «Black Sorrow», classieux triptyque aux ambiances envoutantes proches des Only Ones et autre Nick Cave, «Nobody Knows», sur lequel planent les fantômes de N.Sudden et B.Dylan, «Night Of The Vampire», cover de Roky Erickson aux réminiscences de Mink Deville avec ses brulantes parties de saxophones, «Fire», «Way Down In Hell» qui oscillent dangereusement entre le Gun Club et les Stooges, «Without You I'm Nothing» sur lequel l’alchimie entre guitares électriques et acoustiques atteint une symbiose proche du meilleur Dogs D'Amour, «Slow Down», ballade intimiste acoustique flirtant avec les regrettés Nick Drake ou Elliott Smith, «Black Sorrow» aux relents des Spiders circa 73… Ajoutez à cela deux bonus tracks tels que le très western Dollsien «Hot On Our Trail» et la magnifique version acoustique de «Dead Love's Shadow» où le piano et la voix de Guts Guttercat nous replongent dans les premiers L.Cohen, voire une B.O oubliée de J.Jarmush et vous obtenez un des plus brillants albums de Rock’n’Roll atmosphérique qui ai vu le jour ces dernières années !
Ici règnent l’ombre et la lumière en parfaite harmonie, «Beautiful Curse» est un album spirituel qui parle à votre âme sans jamais tomber dans le pompeux ni le révérencieux, avec la dose d’intelligence et de réflexion nécessaire qui lui permettent de se hausser au niveau supérieur et de tutoyer le panthéon des plus grands.
A découvrir sans modération tant ce disque vous révèle de nouveaux territoires au fil des écoutes !
GUTTERCATS"Beautiful Curse"LP (10 tracks ) + CD (12 tracks + 2 bonus tracks) included
Disponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/home/303-guttercats-beautiful-curse.htmlEcoutez ici / Listen here :
https://soundcloud.com/guttercats-1/without-you-im-nothinghttps://soundcloud.com/guttercats-1/aint-goin-nowhere
Following two albums of highest interest, " Pandora' s Box " (2008) and " Black Sorrow " (2011), the protean gang, articulated around Guts Guttercat makes a strong comeback with this third opus of a class hardly reached in our lands. Recorded in Paris, mixed in Brittany by Jean-Louis Réglain, mastered in Birmingham in the famous John Rivers' studio (Swell Maps, Jacobites, Coils and Rockets, Buzzcocks), the mechanics is irrefutably well oiled on this third album. Acoustic and electric guitars most naturally melt to raise a sumptuous layer to a complex tangle of ballads and Rock n'roll songs in the pure English tradition. Subtle piano or viola arrangements confer nobility and melancholy to the works. Therefore let you catch by this strange carousel put together to leave only thin instants of respite, so much the lulls of this album are present only to better drive you in the whirls which follow them relentlessly. Different stages of this journey, in form of a crepuscular Road Movie are named «Ain' t Goin' Nowhere», illicit crossing between Johnnys, E. Morricone and J. Thunders, «Death & The girl», " Dead Love' s Shadow ", " Black Sorrow ", elegant triptych of captivating atmosphere circa Only Ones and other Nick Cave, " Nobody Knows ", surrounded by the ghosts of N. Sudden and B. Dylan, "Night Of The Vampire", the Roky Erickson's cover in the spirit of Mink Deville with its burning saxophones licks, " Fire ", "Way Down In Hell" which wobble dangerously between The Gun Club and The Stooges, «Without You I' m Nothing» on which the alchemy between electric guitars and acoustic ones reaches a symbiosis close to the best Dogs D' Amour's , " Slow Down ", acoustical intimist ballad flirting with late Nick Drake or Elliott Smith, "Black Sorrow" hinting The Spiders circa 73 …
Add to this two bonus tracks such as very Dollsy western "Hot On Our Trail" and the splendid acoustical version of "Dead Love' s Shadow" where Guts Guttercat's piano and voice draw us back into the first L. COHEN, or even forgotten J. JARMUSH's soundtrack, and you get one of the brightest atmospheric rock’n'roll albums of these last years!
There reign shadow and light in perfect harmony, "Beautiful Curse" is a spiritual album which speaks to your soul without ever falling in the high-flown or the reverential, with the necessary dose of intelligence and reflexion which enable it to rise up in a higher grade and to share the most famous' pantheon.
This record shall be discovered without moderation, the more you'll listen to it, more new territories it will reveal you !
DUM DUM BOYS "Nothing means nothing"LP (7 titres + 2 titres du SP "Real Cool Trash") + CD (18 titres dont 9 inédits et morceaux live) inclus
Disponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/home/296-dum-dum-boys-nothing-means-nothing-real-cool-trash.htmlEcoutez ici / Listen here :http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22670392-dum-dum-boys-real-cool-trash?1336410755Video : http://www.dailymotion.com/video/x444gg_the-dum-dum-boys-real-cool-trash_music
Sortir une réédition du premier mini LP des DDB, augmentée du premier 45t et d’inédits live de l’époque en bonus début 2015… mais pourquoi ???
Tout simplement car ce groupe niçois toujours en activité près de 30 ans après représente sûrement le meilleur groupe de rock’n’ roll français de tous les temps !
Vous pensez qu’on exagère ? Alors, sans entrer dans des comparaisons avec les autres beaux fleurons hexagonaux il suffit de se poser quelques questions et d’y répondre le plus simplement qui soit :
Qui est le plus original ?
Qui est le plus authentique sans aucune copie ni pompage révérencieux ? Qui est le plus dégagé de ses influences, qui est le plus libre, le plus entêté ?
Qui a un son unique entre tous ? Qui reconnait-on au premier accord ? Qui a rendu chèvre l’ingénieur du son du studio bordelais le plus adapté au rock’n’roll lors de cet enregistrement ?
Qui a un son si personnel, anti conventionnel et extrême qu’il a pu paraitre carrément innenregistrable avec les moyens classiques de l’époque ?
Qui a su faire évoluer son style de manière toujours progressive et renouvelée tout en restant toujours fidèle aux mythiques 3 accords en MI LA SI ? Qui a su creuser contre vents et marées son idée fixe, son concept initial sans jamais dévier de sa route ?
Qui peut chanter tout aussi bien en français qu’en anglais sans se dénaturer ou se vendre au grand capital ?
Qui a une discographie s’étalant sur 3 décennies sans discontinuer et en se diversifiant à chaque sortie ?
Qui ne s’est jamais soucié du nombre de ventes de ses disques sans jamais oser même penser à faire une once de concession ? Qui a toujours fait sa musique sans se soucier du reste ? Qui a su rester fidèle au rock’ n’ roll en tant que musique du diable et non comme produit de consommation ?
Qui est capable de pareils shows stroboscopiques sur scène ? Qui dégage une telle puissance hypnotique, une telle personnalité à la fois hautaine, dandy, possédée et quasi-psychotique ?
Qui peut prétendre au statut de groupe culte en nos contrées ?
Qui a une véritable stature internationale ?
Qui si ce ne sont les Dum Dum Boys ??? !!!
Ecoutez et réécoutez cet album qui ne peut subir l’érosion du temps car il est intemporel, inclassable, au-delà des modes !
Si nos artères nous le permettent nous prenons même le pari de le ressortir à nouveau en 2045 !
Alléluia et vive la Fuzz !!!
DUM DUM BOYS "Nothing means nothing"LP (7 tracks + 2 tracks from SP "Real Cool Trash") + CD (18 tracks / 9 unreleased and live songs) included
Disponible ici / available here :http://shop.closerrecords.fr/fr/home/296-dum-dum-boys-nothing-means-nothing-real-cool-trash.htmlEcoutez ici / Listen here :http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22670392-dum-dum-boys-real-cool-trash?1336410755Video : http://www.dailymotion.com/video/x444gg_the-dum-dum-boys-real-cool-trash_music
Releasing in the beginning of 2015 a reissue of the first DDB mini LP, augmented by the first 45t and by some bonus unpublished live tracks from the same era.... but why???
Simply because this 30 years old still active Nice-based band surely represents the best French rock’n’ roll group of all time!
You think that we're going too far? Then, without entering comparisons with other nice hexagonal jewels it will be enough to raise some questions and to answer them in the most simple way :
Who's the most original?
Who's the most authentic without any copy or reverential pumping? Who's the most clear of its influences, who's most free, the most stubborn?
Who has a unique sound between all ? Who can be recognized from the first chord ? Who drove mad the best rock'n'roll Bordeaux studio's sound engineer during this recording?
Who has a so personal, anti conventional and extreme sound that it could appear straightforwardly unrecordable with the average standards of the time?
Who knew how to evolve its style style in an always progressive and renewed way, whilst always remaining faithful to the mythical 3 E/A/B chords? Who knew to dig its obsession against winds and tides, hits initial concept, never ever deviating from its route ?
Who can sing just as easily in French that in English without denaturing themselves or being sold with the big market ?
Who has a discography spread over 30 years without any break, diversifying release after release ?
Who has never been concerned by their records' sales figures , never daring to even think of accepting any kind of concession? Who has
always made its music without caring about the rest ? Who knew to remain faithful to rock'n'roll as the devil's music and not like a consumers' product ?
Who can produce similar stroboscopic shows on stage? Who releases such a hypnotic power, such a personality at the same time haughty, dandy, possessed and near-to-psychotic?
Which group could legitimately claim cult status in our regions?
Who has a real international stature ?
Who else than The Dum Dum Boys ??? !!!
Listen and listen again to the album, which time corrosion can't affect at all, as it's so timeless, uncategorized, beyond fashions !
If we are strong enough to live till then, we even take the bet to release it again in 2045!
Hallelujah and long-live Fuzz!!!
THE PLASTIC INVADERS "Who's number one ?"LP (12 titres) + CD (15 titres) inclus
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22422551-plastic-invaders-cherry-go-round?1336410755
Video : https://www.youtube.com/watch?v=g0KUAwBV7PM
Peter Marvel: voice
Nomi Gorgeous: voice
Vince-O-Matic: guitar
O.O. Micho: Farfisa, voice
Philo B. Jones: bass
Ian Clavezziolli: drums
"Attention, les Plastic Invaders attaquent!
Depuis leur soucoupe en plastique, ils atomisent nos villes et irradient nos campagnes de jets d'acide ionisé, riffs désintégrateurs hérissés de trémolos multicolores et ondes intersidérales.
Avec leurs tambours guerriers de cannibales en jabots, harangués par les incantations vocifératoires de leur chaman halluciné vautré sur son trône spatial en stuc de pâté en croûte, les envahisseurs de synthèse ne font pas de quartier. Ils décryonisent des sixties le meilleur du rock qui, aspiré dans la spirale psychomagnétique de leur vaisseau orgiaque, sera mixé et fondu avec le reste de leurs proies soniques, le tout avalé en grandes pompes funestes, digéré par le Boyau Cosmique et réduit en déjection de fantôme gisant sur la moquette synthétique d'un manoir en Lego..."
Lucas "Kaiser" Trouble
Discographie:
1er album: "Greatest Hits" (Nova Express Records 2009)
Compilation: "The Decap Sound" (Nova Express 2011)
2ème album: "Who's Number One?" (Closer Records 2014)
Formé en 2008 sur les cendres des Plastic Gangsters, furieux combo clermontois ayant pris la fâcheuse habitude de manquer de respect à divers classiques des Stooges, Hives, Cramps et autres Sonics, les Plastic Invaders décidèrent soudain de puiser dans leur insondable vécu pour écrire eux-même les Plus Belles Pages De Leur Histoire.
S'ensuivirent donc les 2 premières galettes pré-citées enregistrées dans l'atmosphère viciée et sulfureuse du fameux Kaiser Studio, antre du délicieux label crypto-punk bourguignon Nova Express, dirigé d'une main de vampire par l'infernal Lucas Trouble (bisou à toi), galettes unanimement saluées par la presse qui compte (Mange-Disque, Dig It, Abus Dangereux, Inrocks, R&F) et suivies d'une ribambelle de concerts héroïques devant des publics ravis, conquis, survoltés, hostiles, dubitatifs, stupéfaits, hilares ou en pleurs, mais la plupart du temps très alcoolisés.
Après quelques changements de personnel et un recrutement digne du mercato espagnol (un batteur chez les Elderberries, un organiste chez les Suppositorz, un bassiste chez Jack & les Eventreurs et une chanteuse chez les So Many Little Sexy Meringues), un deuxième album enregistré à la maison (Studio Palissy, Beaumont) par le titanesque Pascal Power Mondaz et masterisé à la maison (Studio Basalte, Beaumont) par le Professeur Simon Capony, verra le jour en décembre 2014 pour le compte du légendaire label havrais Closer Records.
Invités sur cet album: Zaza Soprano, Suzy Bo (Wendy Darlings), Thomas de Pourquery (Supersonic).
Do the Cyber Twist!
Do the Ding-A-Ling Kong!
Do the Astro Groove!
Do the Elevator Chop-Chop!
THE PLASTIC INVADERS "Who's number one ?"LP (12 titres) + CD (15 titres) inclus
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22422551-plastic-invaders-cherry-go-round?1336410755
Video : https://www.youtube.com/watch?v=g0KUAwBV7PM
Peter Marvel: voice
Nomi Gorgeous: voice
Vince-O-Matic: guitar
O.O. Micho: Farfisa, voice
Philo B. Jones: bass
Ian Clavezziolli: drums
"Beware of the attack of the Plastic Invaders!
From their plastic saucer, they atomize our cities and irradiate our land with spurts of ionized acid, desintegrating riffs, spiky multicoloured tremoloes and interstellar waves.
These loony cannibal aliens with their war drums, excited by the vociferating incantations of their hallucinated shaman sprawling on his stucco-pâté-en-croûte spatial throne, don't give no quarter. They decryonize the best of 60's and 70's hi-energy sexy rock, aspire it in the psychomagnetic spiral of their orgiastic vessel, mix and melt it with the rest of their sonic preys, swallow it in gruesome ceremony, digest it through their Cosmic Gut and spit it out as spectral faeces lying on the synthetic carpet of a Lego manor..."
Lucas "Kaiser" Trouble, 2009
Discography:
1st album: "Greatest Hits" (Nova Express Records 2009)
Compilation: "The Decap Sound" (Nova Express 2011)
2nd album: "Who's Number One?" (Closer Records 2014)
Born in 2008 in Clermont-Ferrand, France,from the ashes of the Plastic Gangsters, relentless combo alas known for disrespecting various classics of the Stooges, Hives, Cramps, Sonics et al, the Plastic Invaders once decided to draw on their unfathomable life story to write themselves The Most Beautiful Pages Of Their History.
Ensued the two aforementioned albums, recorded in the fouled and inflammatory atmosphere of the deliciously infamous Kaiser Studio, home of the crypto-punk burgundian record company Nova Express, ruled with a vampire hand by the infernal Lucas Trouble (kisses and cuddles). Those albums were unanimously praised by the most influential critics (Mange-Disque, Dig It, Abus Dangereux, Inrockuptibles, R&F) and followed by a flock of epic concerts, facing delighted, captivated, overexcited, hostile, dubious, stunned, exhilarated or weeping audiences. Most of the time very drunk anyway.
After a line-up change and a spanish mercatoesque recruitment (Elderberries drummer Ian Clavezziolli, Suppositorz organist David 'Organ Orgasm' Micho, Jack & les Eventreurs bassist Philo B. Jones and So Many Little Sexy Meringues statuesque singer Nomi Gorgeous ), they have just released their new album 'Who's Number One?', recorded at Studio Palissy, Beaumont, France by the herculean Pascal Power Mondaz and mastered at Studio Basalte, Beaumont, France, by Professeur Simon Capony, for Closer, legendary rock record company from Le Havre, France.
Universally recognized guests on this album:: Zaza Soprano, Suzy Bo (Wendy Darlings), Thomas de Pourquery (Supersonic).
Do the Cyber Twist!
Do the Ding-A-Ling Kong!
Do the Astro Groove!
Do the Elevator Chop-Chop!
THE DARK RAGS "Paranoia blues"LP (11 titres) + CD (13 titres) inclus
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22409241-the-dark-rags-miserys-my-name?1336410755
Video teaser : https://www.youtube.com/watch?v=VyXEYFmmtlo&feature=youtu.be
Closer poursuit ses investigations internationales et vous offre à découvrir en cette période de Noël un flamboyant quatuor grec : The Dark Rags !
Formés en mai 2010, nos athéniens préférés puisent leurs influences dans le Garage / Punk et le Rock’n’ roll. Leur premier EP, "Drunken Angel”, réalisé en 2010, comme le premier album éponyme qui suivit fin 2011 ainsi que le CD single “Underground” mirent en pleine lumière leurs penchants spontanés pour le Punk New Yorkais des 70’s comme pour le Garage Australien des 80’s.
Après avoir beaucoup joué afin de parfaire leur set explosif mais toujours classieux sur de nombreuses scènes en Grèce et ailleurs, les Dark Rags se focalisèrent ensuite sur l’écriture et l’enregistrement de ce dernier opus : “Paranoia Blues”.
Tout au long de ces 13 titres, les Dark Rags explorent des territoires beaucoup plus obscurs que précédemment sans pour autant renier les ingrédients essentiels de leur son si particulier : caisse claire en avant, lignes de basse plus mélodiques que rythmiques, riffs entêtants mais toujours saignants, arpèges cristallins dignes d’un Chris Wilson, soli simples et efficaces, vocaux éraillés rappelant souvent le Stiv Bators des Dead Boys.
Si le son général est catchy et puissant à la fois, impeccablement produit et parsemé d’arrangements toujours à leur place, les mélodies vocales de plus en plus élaborées font l’objet d’un soin sans cesse plus pointilleux.
A la fois cru et léché ce «Paranoïa Blues révèle l’intelligence de gens sûrs de leur fait, brut de décoffrage quand il faut l’être mais dont l’élégance rare en ravira plus d’un !
Même si l’on pourra classer ce disque non loin des Johnnys, Hoodoo Gurus, Gun Club, Johnny Thunders, Barracudas, Miracle Workers et autres Beasts of Bourbon, The Dark Rags se situent à 10000 lieues d’une stérile récitation à caractère revivaliste et nous pondent ici un album d’une confondante authenticité qui sue le Rock’n’roll par tous les pores !
THE DARK RAGS "Paranoia blues"LP (11 tracks) + CD (13 tracks) included
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22409241-the-dark-rags-miserys-my-name?1336410755
Video teaser : https://www.youtube.com/watch?v=VyXEYFmmtlo&feature=youtu.be
Closer Records follows its international explorations and offers you to the chance this Christmas to discover one flamboyant Greek quartet: TheThe Dark Rags !
Formed in May of 2010, our favourite Athenians scoop out their influence from Garage/Punk and Rock 'n'Roll. Their first EP, "Drunken Angel ", released in 2010, followed by their eponymous album released at the end of 2011, and, as well, the CD "Underground" single , put in full light their spontaneous attraction to the 70' s New York punk scene as well as the Australian Garage of the 80's.
Continuous touring on many stages in Greece and elsewhere, honed their explosive but always classy sets. The Dark Rags then focused on the writing and the recording of this last opus: "Paranoia Blues".
Throughout these 13 tracks, The Dark Rags explore territories much more obscure than before without denying the essential ingredients of such a particular sound: snare drum forward, more melodic than rhythmic bass lines, always rare but insistent riffs, crystalline arpeggios à-la Chris Wilson, simple and efficient solos, scratchy vocals akin to the Dead Boys', Stiv Bators.
If the overall sound is catchy and powerful at the same time, impeccably produced and studded with impeccable arrangements, the diligently worked out vocal melodies make this object of continuous care.
Both raw and wicked, "Paranoia Blues" reveals the intelligence of people who are self-assured, raw and crude when it has to be, but whose uncommon elegance will charm everyone!
Even if it makes sense to file this record alongside the Johnnys, Hoodoo Gurus', Gun Club's , Johnny Thunders, Barracudas, Miracle Workers and the Beasts of Bourbon’s, The Dark Rags are a million miles away from a sterile revivalist recitation, and they take us there with an album of staggering authenticity, which oozes Rock n'Roll from all it's pores!
Mer 3 DecCANTHARIDE SOLO BORDEAUX / Le Grizzly Pub
Jeu 4 DecCANTHARIDE SOLO TOULOUSE / Le Ravelin
Sam 6 DecRADIOCITY SHAKERS RODEZ / Guinguette Lautrec (+ SONIC ANGELS)
Jeu 11 DecNUIT CLOSER A BEAUMONT (Près Clermont Ferrand) / Le Tremplin
THE PLASTIC INVADERS / THE SONIC INVADERS / ASPHALT TUAREGS
A l’occasion de la sortie album des Plastic Invaders
Ven 12 DecTHE PLASTIC INVADERS / THE SONIC INVADERS ST ETIENNE / Thunderbird Lounge
Sam 13 DecTHE SONIC INVADERS TOURS / Canadian Café (+ Saints & Sinners)
Sam 13 DecCLASSIC AND TROUBLES LARGENTIERE / Toys Run
Sam 13 DecASPHALT TUAREGS ST JACQUES DES BLATS (Cantal) / Le Chaudron
Ven 19 DecWHODUNIT LILLE / El Diablo
Ven 19 DecASPHALT TUAREGS MONTAIGU DE QUERCY / L’Enclos
Sam 20 DecASPHALT TUAREGS PERIGUEUX / Les Toques
OUT NOW !!! PETER ZAREMBA’S ROCK DELEGATION / CRUMMY STUFF (SPLIT MAXI) !!!
Postée le 22.11.2014
Peter Zaremba’s Rock Delegation / Crummy Stuff Split maxi (4 titres / tracks)
Ecoutez ici / Listen here :
http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22295007-peter-zarembas-rock-delegation?1336410755
Les présentations sont inutiles pour "The Count" Peter Zaremba !
Il est depuis quasiment quatre décennies le chanteur du meilleur "party band" de tous les temps .... The Fleshtones !!! ...
Toujours verts et excitants les quatre de Brooklyn écument les scènes internationales sans repis aucun, ce qui ne dispense pas leur chanteur de se payer occasionnellement le luxe de quelques "side projects". Outre ses talents de graphiste reconnus notamment chez ROIR , de producteur (The Last Drive, Los Mescaleros, Los Straitjackets etc…) ou son activité de présentateur TV , on se souvient notamment de Peter Zaremba’s Love Delegation dans les années 80 (avec entre autres Barrence Whitfield, Wendy Wild , Keith Streng) , coupables de deux albums et d'un maxi EP des plus festifs.
Aujourd'hui, à l'initiative du chanteur/guitariste canadien Rob Sweeney (ex Boneyard Devils et Purple Toads , entre autres), Peter Zaremba, sans pour autant délaisser ses frères de sang, a accepté l'invitation de Crummy Stuff de l'épauler en tant que "backing band".
Le résultat est là, sur Closer Records , une face consacrée à Peter Zaremba' Rock Delegation (soit Zaremba + Crummy Stuff) , et une autre à Crummy Stuff.
Deux entités tellement torrides et festives que nous n'avons pas pu résister.... Une pochette réversible ... et pas plus de face A que de face B ... Juste une face "Crummy Stuff" et l'autre "Peter Zaremba's Rock Delegation" ... à tel point que la chaîne de pressage s'en est mêlée les pinceaux en inversant les labels.... Un collector ultime !
Les connaisseurs sauront néanmoins, sans avoir à lire le sticker rectificatif, s'y retrouver dès les premières notes ...Peter Zaremba’s Rock Delegation / Crummy Stuff Split maxi (4 titres / tracks)
Peter "The Count" Zaremba requires no introduction!
For four decades he's been the singer of the best "party band" of all time!.... Of course we mean The Fleshtones ! Forever young and exciting, the Brooklyn Four never stopped hitting the international stage, while still finding time for this electric singer to occasionally enjoy some of his own side projects. Besides his recognized talent as a graphic designer (including several ROIR's covers), a producer (The Last Drive, Los Mescaleros, Los Straitjackets, etc…) or even his gigs as a TV host, we especially remember Peter Zaremba's Love Delegation back in the 80's (starring-among others- Barrence Whitfield, Wendy Wild, Keith Streng), whose two albums and a maxi-EP remain relevant and memorable in party circles.
Today, at the insistent request of Canadian singer/guitarist Rob Sweeney (ex-Boneyard Devils, Purple Toads, among others), Peter Zaremba, without abandoning his partners in crime, accepted Crummy Stuff's invitation to support him as his backing band.
The fruits of this union are now on Closer Records, one side dedicated to Peter Zaremba's Rock Delegation (ie. Zaremba + Crummy Stuff) , and the other to Crummy Stuff.
Two so hot and festive entities that we were not able to resist.... Which includes a reversible cover ... No side A nor side B ... Just side "Crummy Stuff" and side "Peter Zaremba's Rock Delegation"... so much that the record production line went nuts by inverting the labels....
The ultimate collector!
ASPHALT TUAREGS"Sexes"LP + CD inclus (11 titres)
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22271776-asphalt-tuaregs-turn-my-blues-out?1336410755
Video : http://vimeo.com/97587589
Formés autour de l’inoxydable François Lebas aka Francesco, dont la dextérité incisive teintée d’inventivité et de sauvagerie est unanimement reconnue, les AsphaltTuaregs sortent leur nouvel album sur Closer Records en cette fin 2014 !
L’ex frontman des Fixed Up et autre Backsliders est épaulé dans sa quête d’ensauvagement collectif et de sulfatage sonique par son fidèle compère bucheron, Oliv’, aux futs (ex Backsliders lui aussi) ainsi que par la sulfureuse Dee Dee à la basse (qui officia un temps pour les lillois d’Ashtones). Le trio ne revendique aucune influence particulière si ce n’est le punk rock et le wild rock’n’roll… Libre à l’auditeur d’y entendre des relents de Dead Babies, Motorhead ou autres Fun Things…Les Asphalt Tuaregs s’en contre-branlent en fait, ils ne sont pas là pour disserter sur la musique mais pour faire rugir leurs amplis sans jamais se laisser envahir par un quelconque calcul. Entrainés inéluctablement dans une sorte d’exutoire cathartique, mus par une colère intérieure qui semble les dépasser voire les posséder, ils naviguent à l’instinct, en suivant leur intuition. Les compositions plus rageuses les unes que les autres naissent le plus souvent d’un riff de guitare bricolé, torturé, tourné en boucle, déstructuré à l’extrême, recomposé… sur lequel se greffe naturellement la doublette rythmique toute en rupture, tentant inlassablement d’apporter ordre et structure au flot incessant de riff haute tension fourni par Francesco une fois qu’il est branché. Nos havrais frisent le plus souvent l’hystérie et ont définitivement mis au ban toute forme de demi-mesure, leur singulier mécanisme ne supporte que deux positions : on et… off.
ASPHALT TUAREGS"Sexes"LP + CD included (11 tracks)
Formed around stainless François Lebas a.k.a. Francesco, whose incisive deftness colored with inventiveness and savagery is unanimously acknowledged, The Asphalt Tuaregs are releasing their new album on Closer Record fall 2014!
Ex-Fixed Up and Backsliders frontman, Francesco, is supported in his quest of collective wilding and sonic sulphating by his faithful woodcutter pal Oliv ' on drums (ex Backsliders as well) as well as by sulfurous Dee Dee on bass (who once joined forces to the Lille based Ashtones). The trio claims no specific influences but Punk Rock and Wild Rock 'n' Roll... Listeners may hear some Dead Babies, Motörhead or Fun Things in their songs... The Asphalt Tuaregs actually don't give fuck about who you think they sound like; They're not here to theorize on the music, but rather to make their amplifiers roar without any premeditation... inescapably dragged in a kind of cathartic release, driven by an guttural anger which to seems to exceed them, consume them, they navigate by instinct, following their intuitions. The compositions, each one wilder than the previous, often find its source from a messed, tortured, turned wrap guitar riff, deconstructed and reinvented to the extreme ... on which the rhythm section, in rapture, grafts itself naturally, indefatigably attempting to bring order and structure to high-voltage unstoppable volcano riff streams courtesy of Francesco, once he gets plugged. Our Havre based trio most often come close to hysteria and have definitively banished any kind of half measure; their odd mechanism only has two switches: OFF and ON!!!
MYSTERY MACHINE« Sunset Fatal Songs »LP (+ CD inclus avec 2 bonus tracks)
Ecoutez ici / Listen here :http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22250650-mystery-machine-place-so-fine?1336410755
Videos : http://vimeo.com/102210572http://www.youtube.com/watch?v=1im0bgXwZhY
Après un premier album réédité en vinyl rouge chez Closer, Mystery Machine revient avec un opus de première bourre ! Notre quatuor n’a de cesse durant les 11 titres de vous harceler sans vous laisser reprendre votre souffle, une attaque rangée digne de la Bataille Des Pyramides…
Ils portent fièrement le flambeau d’un rock’n’ roll un brin garage par le son, un tantinet hardcore par la puissance et la rapidité d’exécution qui n’est pas sans rappeler les premiers efforts des Thugs voire de Burning Heads. Fidèles et marqués au fer rouge, Mystery Machine ont su conserver une place de choix, au pied du berceau, à leurs grands aïeux les Ramones comme en confèrent leurs compositions en forme de brûlots à l’arrache, leurs refrains aux mélodies à la fois simples et imparables ; le travail de sape, à la fois véloce et austère du couple basse / batterie s’inscrit toujours aussi dans la généalogie du quatuor de faux frères New Yorkais : tout à l’énergie. Cependant, on notera une ou deux éclaircies dans ce ciel orageux et empli d’électricité de ce « Sunset Fatal Songs », Mystery Machine s’est permis entre autre une incursion dans le reggae sur ce nouveau disque, bien sûr ils ne lorgnent pas encore sur Toots and The Maytals ou autres Jimmy Cliff, leur reggae s’inscrit dans une tendance Ruts / Clash, mais cette apparente accalmie a le mérite de souligner le fait que le combo de Nogent n’est pas seulement un rouleau compresseur !
Un disque toutes guitares au vent, souvent bille en tête, à l’urgence jouissive mais après tout pourquoi prendre le temps de réfléchir quand on n’a plus une minute à perdre ?
MYSTERY MACHINE« Sunset Fatal Songs »LP (+ CD included with 2 bonus tracks)
Following their first album, reissued in red vinyl on Closer, Mystery Machine are back with a hard & strong release! This quartet, on these 11 killer tracks, never stops its assault, never letting up to allow you a chance to catch your breath: a kind of "Battle Of Pyramids" orderly attack…
They proudly effuse a Garage Rock tone, a Hardcore power and lightning speed execution, reminiscent of Les Thugs' early efforts and the Burning Heads.
Regular and branded (?), Mystery Machine know how to take their place at the feet of their forefathers, The Ramones, with songs of simple and unstoppable melodies and quick and austere bass/drums stays true to the lineage of New York faux-bros: all for one for energy!
That said, there are some brighter moments on "Sunset Fatal Songs" storm-filled skies of electricity; Mystery Machine allowed themselves to venture into reggae territory on this new record owing more to the Ruts and Clash than to Toots and The Maytals or Jimmy Cliff. This visible calm has the merit to prove that the Nogent-based combo is not just a rock steamroller!
This record is “full guitars ahead”, replete with a direct, fun loving urgency: After all, why should we sit back and think when we only have a minute to lose?
PRIMEVALS "Tales of endless bliss"
LP (10 titres) + CD inclus (10 titres).
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/22204778-primevals-pink-cloud?1336410755
Video : http://www.youtube.com/watch?v=DmOa6mNM5xI
Nous n’étions plus très nombreux à nous souvenir de ce groupe qui accompagna les Cramps sur toute la tournée européenne 1986 de « Smell of Female ». Il s’agissait des Primevals, à l’origine une sorte de Gun Club écossais mâtiné de Captain Beefheart, signé par New Rose deux ans plus tôt, et qui avait alors peut-être déconcerté certains avec un rock devenu un peu plus mélodique et aérien. Ce temps-là est bien loin aujourd’hui et même totalement révolu, si l’on jette une oreille sur le tournant en forme de « retour aux fondamentaux » emprunté par le groupe depuis quelques années. Sous la houlette d’un Michael Rooney que d’aucuns soupçonnent coupable d’un pacte faustien, la flamme ne s’est jamais éteinte et, bien au contraire, ce sont des Primevals plus verts que jamais qui déboulent sur Closer Records avec leur nouvel album : « Tales Of Endless Bliss ». Nous assistons ébahis à une spectaculaire mutation qui bien sûr ne s’est pas effectuée sans heurts, on ne passe pas si aisément d’un son printanier, léger, insouciant aux lourdes froideurs crépusculaires et envoutantes de l’automne. Avec le temps la machine Primevals s’est alourdie, se muant en une mécanique à la puissance sombre et menaçante, ornementée de guitares abrasives, massives, de rythmiques ayant mis au ban toute velléité de up tempo primesautier pour laisser place à un beat beaucoup plus posé, swampy, envoûtant. En optant pour une pareille assise à la fois grave et solennelle, en sachant mettre à nu la substantifique moelle en des compositions rageuses, vindicatives et toujours plus « près de l’os », ce quintet est aujourd’hui parvenu à atteindre la quintessence de son art.
Amateur de tableaux expressionnistes possédés et un brin déjantés, d’horizons implacablement plombés, de paysages lunaires décharnés ou, plus simplement, fan de rock’n’roll noir et primal, « Tales Of Endless Bliss » sera ton nouveau Graal à n’en pas douter !
PRIMEVALS "Tales of endless bliss"
LP (10 tracks) + CD included (10 tracks).
Not a load of us were remembering the group that accompanied the Cramps throughout their "Smell of Female" European 1986 tour. These were The Primevals, originally a kind of Scottish Gun Club crossed with Captain Beefheart, signed by New Rose two years earlier, and they had then perhaps confused some of their followers with a rock that had became a bit more melodic and aerial. That time is now far away and even totally gone, if you keep an ear on the "back to basics" turn used by the group in recent years. Under Michael Rooney’s leadership, suspected by some guilty of a Faustian pact, the flame was never extinguished, and to the contrary, the Primevals are liver than ever whilst tumbling on Closer Records with their new album "Tales Of Endless Bliss." We are witnessing a dramatic change , a mutation which of course has not been done smoothly, so you can’t cross easily from one spring, light, carefree and captivating sound to the heavy twilight chills of autumn. Over time the Primevals’ machine has gained weight, mutating into a mechanical dark and menacing power, ornamented with abrasive guitars, massive, rhythmic having shunned any hint of impulsive up tempo to make way for a much posed, swamp and haunting beat. By opting for such a seat both serious and solemn, knowing expose the very substance into furious compositions, vindictive and increasingly "raw to the bone," this quintet is now able to achieve the quintessential of his art. If You are into possessed and crazy Expressionist paintings, into relentlessly leaded backgrounds, emaciated lunar landscapes or, more simply, a fan of black and primal rock'n'roll, "Tales Of Endless Bliss" will no doubt be your new Grail !
EYES ON YOU VOLUME 2Double LP (20 titres) / Double CD (38 titres).20 groupes français donnent l’assaut épaulés par 18 de leurs vénérables ainés !
Ecoutez ici / Listen here (Nito "This is the end") : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/21848858-eyes-on-you-vol-2-nito-this-is?1336410755
Teaser : http://vimeo.com/103582639
Vingt sept ans après Closer Records remet le couvert en proposant un panel des meilleurs groupes français en activité accompagnés d' une sélection de morceaux inédits et autres raretés issus de la fructueuse période des 80/ 90’s, parmi eux on retrouve certains combos qui firent la fierté du label havrais mais aussi une escouade de glorieux mercenaires venus les épauler pour l’occasion.
Le volume 1 de la compilation Eyes on you avait tant frappé les esprits et son époque qu’on ne pouvait décemment pas ne pas réitérer cette expérience à la fois fulgurante, novatrice et unificatrice. Le rock’n’roll hexagonal ne s’est jamais éteint mais, pour raviver une bonne fois le feu sacré il fallait rassembler toutes les expériences éparses et jusqu’ici trop disséminées pour frapper du poing sur la table. Cette double compilation a pour but de servir de détonateur en unifiant les efforts d’activistes résolus pour qu’enfin se fasse entendre leur voix auprès du plus grand nombre. Toutes les régions du pays participent à la jacquerie : du Havre à Nice en passant par Paris, Dijon, Lorient, Toulouse, Decazeville, Nogent…
Ces combattants teigneux, fougueux, intrépides et fiers, dignes descendants d’une tradition musicale issue du rock’n’roll, du punk comme de la power pop ne demandent qu’a pointer le bout de leur riffs acérés afin de pourfendre un horizon assombri par tant d’années de disette !
Rock’n’ Roll bordel !
Double LP (20 groupes actuels du label Closer Records) :Guttercats, Hope, Red Eye Ball, Indian Ghost, Dum Dum Boys, Cantharide, The Bratchman, Mystery Machine, The Sonic Invaders, Radiocity shakers, Kitchenmen, Midnight Movers, The Fab Mods, BBC, The Romanée Counteez, Asphalt Tuaregs, Whodunit, Skin a Buck, Little Green Fairy, Black Luna.Double CD (20 groupes actuels du label Closer Records accompagnés de 18 groupes des 80/90’s) :Shifters, King Size, Les Coronados, The Boy Scouts, Stéphane Hermlyn, Le Prehistoric Pop, The Jekylls, The Batmen, The Holy Curse, Real Cool Killers, Scuba Drivers, The Chasmbrats, Les Shtauss, Bad Losers, Wild Child, OX, Nito, Totsonic.EYES ON YOU VOLUME 220 mighty french bands are ready to storm the house with the help of some glorious veterans!
Twenty seven years later, Closer prepare a second run of the best current scene's french bands', but also a selection of unissued tracks and assorted rarities from their rich 80's / 90's period, helped by combos that built Le Havre based label's legitimate pride and by a squad of bad mercenaries.
Eyes On You compilation vol. 1 was so stunning in those days that it was impossible to avoid repeating now this tumultuous, innovative and unifying experience. Hexagonal Rock'n'Roll sacred flame never came fully extinguished, but in order to revive it, it was necessary to gather all scattered experiences spread around, to strike hard at the right place. Shall this double compilation be the detonator, unifying determined activists' common efforts to at long last spread the message among a larger audience. All regions from this country joined hands for this rebellion : from Le Havre to Nice, including Paris, Dijon, Lorient, Toulouse, Decazeville, Nogent…
Those fierce , ferocious and fearless warriors , the worthy descendents of a musical tradition built on Rock'n'Roll, Punk or Power Pop foundations, are fully ready to point their sharp-edged riffs to the darkened skies, shadowed by so many years of starvation!
Goddamn Rock'n'Roll !
Double LP (20 contemporary bands from the label Closer Records) :Guttercats, Hope, Red Eye Ball, Indian Ghost, Dum Dum Boys, Cantharide, The Bratchman, Mystery Machine, The Sonic Invaders, Radiocity shakers, Kitchenmen, Midnight Movers, The Fab Mods, BBC, The Romanée Counteez, Asphalt Tuaregs, Whodunit, Skin a Buck, Little Green Fairy, Black Luna.Double CD (20 contemporary bands from the label Closer Records helped by 18 bands from the 80/90’s) :Shifters, King Size, Les Coronados, The Boy Scouts, Stéphane Hermlyn, Le Prehistoric Pop, The Jekylls, The Batmen, The Holy Curse, Real Cool Killers, Scuba Drivers, The Chasmbrats, Les Shtauss, Bad Losers, Wild Child, OX, Nito, Totsonic.
The Curse "World Domination" (Lp 12 titres / Cd 15 titres).
Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/21848942-the-curse-dont-fuck-it-up?1336410755
Vidéos : http://vimeo.com/94496459http://www.youtube.com/watch?v=jjZ3pjao0YY
Après un premier album à décorner tous les vikings de la création, « Suck it in, Spit it out », les suédois de The Curse reviennent sur Closer Records avec leur chef d’œuvre en forme de maelstrom sonore : « World Domination » !
Le cuir endurci par de nombreuses tournées, notre quatuor tourne à présent à plein régime et plus rien ne semble capable de stopper cette invasion sauvage emplie de riffs telluriques et de beats ravageurs ! A la manière de leurs ancêtres Vikings ils ne supportent aucune église, aucun clocher, aucun dogme… ils ne croient qu’en leur propre puissance et c’est là leur principale force. En effet, on ne peut cataloguer The Curse dans aucun style pré-établi : ni garage, ni punk, ni high energy… ils sont tout ça à la fois mais bien plus encore, ils ont su transcender les règles en digérant les meilleures influences pour produire un son à nul autre pareil, surpuissant, gorgé de fuzz et de soli en fusion. Enregistré et produit, comme leur premier opus, par l’excellent Rick Trivellini, ce deuxième album a su capter la quintessence de ce que doit être le rock’n’roll : direct, brutal, acide, électrique, irrévérencieux et sans concession !
Ces gars là ne sont pas là pour rigoler, ils débarquent en Europe du 18 septembre au 19 octobre pour un raid sanguinaire durant lequel il ne feront pas de quartier. Soyez certains qu’ils boiront bientôt, et jusqu’à la lie, l’hydromel dans vos cranes évidés !
The Curse "World Domination" (Lp 12 tracks / Cd 15 tracks).
Following their first album subject to de-horn the Vikings of Creation, “Suck it in, Spit out it”, Swedish raiders, The Curse, sign on to Closer Records for their comeback masterpiece in the form of a sound maelstrom called “World Domination”! Leather hardened by years of touring, this quartet turns it up full throttle and nothing can stop this wild invasion filled with electric fronts and ravaging beats! As with their Viking ancestors, they worship no church, no bell-tower, no dogma… they believe in the might of their own power and this is their driving force. Indeed, one cannot peg The Curse to any particular style: neither garage, nor punk, nor high energy… they are all that at the same time but much more still. They know how to transcend the rules by digesting their best influences to produce a unique sound: ultra-powerful, gorged with fuzz and solid in fusion. Recorded and produced, as their first opus, by the excellent Rick Trivellini, this second album has achieved the quintessence of what Rock'n'Roll should be: direct, brutal, acid, electric, disrespectful and without compromise!
These heathens definitely aren't joking, they will savagely invade Europe from September 18th to October 19th in a bloody, sonic raid intent on pillaging not colonizing. Soon enough they will be drinking the dregs of mead from your hollowed-out skulls; be certain of it!
The Curse on tour !
A l'occasion de la sortie début septembre de leur nouvel album sur Closer Records « World Domination » LP (12 titres) / CD (15 titres), les Curse descendent en France, en Allemagne et en Belgique à bord de leur Drakkar. Venu de Suède, ce quatuor hirsute revisite le punk rock à la sauce garage avec classe et sauvagerie. Leur mission affichée est de sauver le Rock’n’ roll à grand coup de riffs déchirants et de beats primitifs. Leur seul but est d’écumer le monde pour propager la bonne parole. Préparez vous à une décharge électrique sans commune mesure tant The Curse est un combo sans concession ! La tournée qui durera près de deux mois est organisée par Iggystoner Booking en association avec Closer et promets d'être infernale !