CLOSER Records Labelo Rock Indépendant du Havre

OUT NOW!!! INDIAN GHOST!!!


Postée le 18.04.2015

Closer Records présente : Indian Ghost !

Closer Records presents : Indian Ghost!

Indian Ghost «Lost far gone»

LP (10 titres) + CD (10 titres) inclus

LP (10 tracks) + CD (10 tracks) included

Disponible ici / available here : 

http://shop.closerrecords.fr/fr/home/320-indian-ghost-lost-far-gone.html

Ecoutez ici / Listen here :

http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/23349340-indian-ghost-land-my-father

Video : https://www.youtube.com/watch?v=3H3mONNnEeU

Facebook : https://www.facebook.com/pages/Indian-Ghost/142831442438746?fref=ts

Indian Ghost est un groupe toulousain discret et à l’élégance rare, toujours en équilibre entre perfectionnisme obsessionnel et dilettantisme chronique. Il nous offre avec « Lost far gone » son cinquième album en 22 ans. Si la productivité comme le rendement demeure à 10 000 lieues de leurs préoccupations, leur discographie s’étalant sur deux siècles, la qualité, elle, est toujours optimale tant ici nous avons affaire à des artisans dont le soin et le rigorisme virent à l’orfèvrerie voire à l’horlogerie de précision chère à nos voisins Helvètes.

Comme à chaque livraison, Indian Ghost nous gratifie d’un album complexe et simple à la fois. Chaque pan de mur de l’édifice présente ses propres enluminures, son architecture originale, mais toutes les facettes s’emboitent méthodiquement à la fin pour constituer un monument singulier, scintillant de puissance émotionnelle, à l’évidente harmonie et à la justesse difficilement accessible.

« Lost far gone » esquisse d’emblée le plan de masse avec « Land of my Father », en forme d’hymne dégingandé, le langoureux et sexy « Psycho Medicine Blues » lui succède en nous offrant une facette plus intimiste de leur art, ornementée de bande à l’envers hypnotiques, afin de bien rappeler que nous n’avons pas affaire à de vulgaires arpètes mais bien à des bâtisseurs de pop music chevronnés.

S’ensuit le très Supersnazzien « Everyday you have to die », sur lequel on s’attend à chaque encoignure de couplet à voir débarquer le remuant fantôme de Roy Loney. Arrive le morceau de bravoure de l’album, « Girl on a Motorcycle », au beat lent et posé sur lequel s’entrechoquent, dans un carrousel spectorien aux pigments bigarrés, des volutes de guitares douze cordes, des trompettes vaporeuses et un piano copulant à l’envie et au mépris de la plus élémentaire moralité, avec des chœurs baignés d’une sirupeuse reverb. Vient ensuite, pour clore la première face, « I Whistle you come to me » porté par un Farfisa aux effluves transylvaniennes pimentant la ritournelle de saveurs acides et décadentes que n’auraient pas renié les grands échalas de 22-Pistepirkko.

Le temps de retourner l’objet et on repart pied au plancher avec « 06 77 Club », au refrain imparable, qui s’impose comme le second hit bankable de « Lost far gone ». « Statue Girl », balade vespérale qu’aurait pu pondre Lee Hazlewood lors d’un crépuscule automnal entre Grandes Plaines et Monts Ozark, s’immisce ensuite dans le bal pour parsemer l’atmosphère d’un peu plus encore de nostalgie contemplative avant que ne survienne « Killing or Loving », dont la ligne d’orgue transalpine ensoleillée joue un surprenant contre point avec un riff de guitare estampillé Neil Young. « One Day in the Summer », flânerie lancinante en mid-tempo, nous renvoie ensuite au temps des premiers Indian Ghost, quand la logique architecturale s’articulait autour d’une structure ascensionnelle vous promenant progressivement des vallées sereines d’un couplet vers les cimes escarpées d’un refrain auréolé de chœurs aériens. Pour que l’œuvre soit achevée il fallait une flèche vers les cieux, un vestibule vers les sphères spirituelles, et c’est le somptueux « White Horses », ode poignante et éthérée à la fois dont aurait pu nous gratifier Nick Cave, qui se charge de vous donner l’ultime frisson en vous saluant bien bas.

Mais, à vrai dire, tenter de traduire en mots la profondeur émotionnelle qui règne en les sillons de « Lost far gone » n’a pas vraiment de sens… Ecoutez-le et vivez-le tout simplement !

INDIAN GHOST OUT NOW cont  AFFICHE_DATE cont

Indian Ghost is a discreet group from Toulouse, of rare elegance, always at the border of obsessive perfectionism and chronic dilettantism. They have delivered “Long Far Gone”, their fifth album in 22 years. With a lack of concern over productivity, and a discography spanning over two decades, as always, the product is high quality as we are dealing with artisans, whose care and perfectionism we oft see in fine silverware or even precision watchmaking; our Helvetii neighbors.

As is the case for each of their releases, Indian Ghost offer us an album as complex as it is simple. Each wall of this musical construction has its own illumination, its unique architecture, yet all aspects fit together methodically in the end to form a singular monument, scintillating, emotionally powerful with an obvious harmony and inaccessible correctness.

From the outset, “Lost Far Gone” sets the tone with “Land of my Father” a shapely, lanky anthem, languorous and sexy. Soon followed by “Psycho Medicine Blues”, which focuses on a more intimate side of their art, ornamental with its hypnotic backwards loops, to remind us that we are not dealing with average soldiers but rather with pop music veteran builders.

The very Supersnazzian “Everyday You Have to Die”, has you expecting an encounter with Roy Loney’s restless ghost at each verse’s corner. Then comes the highlight of the album, “Girl on a Motorcycle”, with its slow and grounded beat into which collides, in a Spectorian colorful pigmented carousel, lush twelve string guitars scrolls, trumpets and a vaporous piano copulating envy and contempt of the most basic morality, bathed in syrupy reverb vocals. Closing the A side, “I Whistle You Come to Me”, carried by a Farfisa whose Transylvanian waves spice up the refrain, acidic and decadent flavors that would not have been disowned by those big stakes 22-Pistepirkko.

Swinging to the B side, we come back full speed ahead with “06 77 Club”, whose unstoppable refrain easily wins the status of the second bankable hit off of “Lost Far Gone”. “Statue Girl”, a hymnal ballad Lee Hazlewood could have delivered during an autumn twilight prayer between the Great Plains and the Ozarks, which sprinkles the atmosphere with a little contemplative nostalgia before the next track, “Killing Gold Loving”, whose sunny transalpine organ plays against a surprisingly Neil Youngish guitar riff. “One Day in the Summer”, a mid-tempo nagging stroll, reminiscent of early Indian Ghosts, when the architectural logic was built around an upward structure gradually guiding you to serene valleys and steep peaks in a haloed choir of chorus.

As if to wrap things up with an arrow shot straight to Heaven, a vestibule to the spiritual spheres, along comes the sumptuous “White Horses”, a poignant and ethereal ode this side of Nick Cave, that gives you the ultimate thrill whilst greeting you very low.

In fact, if you attempt to put into words the emotional depth that emanates from the lovely grooves of “Lost Far Gone” is an exercise in futility … Listen to it and live it all!

OUT NOW!!! CANTHARIDE!!!


Postée le 04.04.2015

Closer Records présente : Cantharide !

Closer Records presents : Cantharide!

Cantharide «A Bridge to build»

LP (10 titres) + CD (13 titres) inclus

LP (10 tracks) + CD (13 tracks) included

Disponible ici / available here :  http://shop.closerrecords.fr/fr/home/311-cantharide-a-bridge-to-build.html

Offre spéciale / special offer : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/310-offre-speciale-cantharide-a-bridge-to-build-do-the-bzzz-.html

Ecoutez ici / Listen here :

Videos : https://www.youtube.com/watch?v=Fp6_6R-ZDC0

https://www.youtube.com/watch?v=zFNnFHSLDCI

Site : http://chaissacpierre.wix.com/cantharide

Et voici un des évènements de l’année en cours chez Closer Records : la sortie du nouvel album de Cantharide. Après « Do the Bzzz !!! », leur premier opus renversant tant par la qualité et la fraicheur de ses chansons que par l’intelligence de son orchestration, nous n’en pouvions plus d’attendre l’avènement de ce fameux « A bridge to build » ! Si l’on ne tenait compte que des apparences on pourrait qualifier Cantharide de pop band mais ce serait tellement réducteur… Certes, l’érudit saura retrouver quelques réminiscences veloutées de Neil Young, Guided by voice ou autre Bob Mould, dont l’ectoplasme n’a jamais cessé de roder autour de Pierre « Choumy » Chaissac, mais l’essentiel n’est pas là tant le spectre visité par Cantharide est large et s’étend ici des Buzzcocks aux Beatles en passant par Syd Barrett !

Ce quatuor est en fait libre comme l’air, affranchi de toute influence ; autour des titres écrits par Pierre, la tribu fonctionne comme un mini kolkhoze, comme une vraie équipe qui n’a de cesse de réfléchir pour trouver la solution la plus adéquate, efficace, en se mettant toujours au service des chansons, pierres angulaires du projet Cantharide.

Près de six mois ont été nécessaires à l’enregistrement et au mixage de cet album fait maison entre Charente-Maritime et Caraïbes. Le travail de composition comme de réalisation est pensé en ses moindres détails afin que chaque élément trouve naturellement sa place. Or, comme chacun sait, il n’y a rien de plus difficile que d’être simple, en cela cet album représente le fruit d’un labeur implacable, quasi stakhanoviste, la recherche d’une certaine forme de perfection dans l’évidence. « A bridge to build » ne laisse pas de place à la contingence, à l’étalage, il va à l’essentiel, au nectar en s’interdisant toute enluminure qui ne coulerait pas de source.

« A bridge to build » est ainsi conçu comme un tout, un album d’une lumineuse clarté qui a su acter le verbe, graver dans le vinyle le concept initial en jouant sur les sonorités, les harmonies, le placement des voix autant que sur les rythmiques, les structures des morceaux et les atmosphères afin que le résultat soit le plus lisible possible, le plus fidèle à l’idéal musical qui anime nos quatre acolytes.

A la fois sec comme un coup de trique, aérien quand la chanson l’exige, exigeant, humble et aventureux à la fois, cet opus est un chapelet de petites perles à l’éclat sans cesse renouvelé, une succession de ritournelles intimistes mais bruyantes, une tranche de vie d’une authenticité confondante incluant une histoire de fille par titre, qu’elle soit triste ou joyeuse…

Un instantané de l’absolue sincérité d’un groupe à découvrir de toute urgence !

CANTHARIDE OUT NOW cont  CONCERTS CANTHARIDE TOUR 2 cont

Here comes one of this year’s major events from Closer Records: the release of the new Cantharide album. After “Do the Bzzz !!!”, their epic debut, which astounds with both quality and freshness in its collection songs or by the intelligence inherent in its orchestration, we could no longer wait for their follow up, “A Bridge to Build”!

Not to judge a book by its cover,  Cantharide  some might describe as a pop band,  but it would not do them justice… Certainly, the scholarly amongst us would make some velvety Neil Young, edgy Guided By Voices or Hüsker Dü comparisons, the ectoplasm of the latter has never stopped lapping around Peter “Choumy” Chaissac. Yet the most important is not there  as the inhabited Cantharide spectrum is wide and extends from the Beatles to the Buzzcocks via Syd Barrett !

This quartet is actually as free as air, void of any influences; with tracks penned by Peter, the tribe operates as a mini kolkhoz; like a real team that never stops the search for the most appropriate, effective solution, always remaining at the songs’ disposal, the cornerstone of the Cantharide project.

Nearly six months of recording and mixing went into this home-made album, between Charente-Maritime and the Caribbean. Composition and performance went into every detail of this album so that each element has its place. Now, as everyone knows, simplicity can sometimes be quite hard; in that respect this album is the result of relentless toil, almost Stakhanovite, looking for some kind of perfection in evidence . “A bridge to build” leaves no room for contingency, shoplifting, it goes to the point, to the nectar, by avoiding any illumination that would not flow naturally.

“A Bridge to Build” in its entirety, is an engine of a luminous clarity that knows how to enact the verb, engrave the vinyl with the original concept of playing with sounds, harmonies, placement of voices and rhythms, the song structures and their atmospheres, so that the result is as legible as possible, most faithful to the musical ideal that emanates from our four acolytes.

Either skin and bone, aerial when the song requires, rigorous, humble and adventurous at the same time, this album is a string of pearls, dazzling, a series of intimate but noisy tunes, a slice of life in a confusing authenticity including one girl story per track, be she sad or joyful …

A snapshot of the absolute sincerity of a band that shall be urgently discovered !

 

OUT NOW!!! THE LAST KILLERS!!!


Postée le 21.03.2015

Closer Records présente : The Last Killers !

Closer Records presents : The Last Killers!

The Last Killers « Dangerous»

LP (12 titres) + CD (12 titres) inclus

LP (12 tracks) + CD (12 tracks) included

Disponible ici / available here : http://shop.closerrecords.fr/fr/home/312-the-last-killers-dangerous.html

Ecoutez ici / Listen here : http://www.reverbnation.com/closerrecords/song/23181736-the-last-killers-dangerous?1336410755

Toujours plus acharnée, l’équipe Closer Records s’est mis en tête de ratisser le monde et l’Europe en particulier afin d’y dénicher les perles les plus sauvages et de vous les offrir.

Après Bruce Joyner (USA), The Curse (Suède), Peter Zaremba (USA), Crummy Stuff (Canada), Primevals (Ecosse), The Dark Rags (Grèce), The Trap (Suisse) … voici que déboulent à présent The Last Killers, un quatuor hirsute et sanguinaire originaire de Ravenne en Italie.

Si le background comme les précédents opus du gang fleuraient bon les obédiences garage 60’s les plus nobles, The Last Killers ont creusé ici le sillon de l’histoire du rock’n’roll pour faire la part belle à la sauvagerie classieuse chère à Little Richard et autres Sonics et reprendre le flambeau d’une lignée dont les derniers représentants se nommaient Jim Jones Revue.

Avec « Dangerous » nos transalpins laissent leurs démons se déchaîner sans retenue et nous envoient à la face une rafale de hits de première bourre ! Les lignes d’orgues 60’s qui hantaient leurs premiers efforts laissent de plus en plus la place à de frénétiques parties de piano en mode Jerry Lee, le beat se simplifie pour cogner droit à l’essentiel sans fioriture ni effet de manche, les guitares pétaradent en tous sens, fuzzées et distordues, les vocaux teigneux et enragés vocifèrent comme au bon vieux temps de Gerry Roslie…

Vous l’aurez compris, tous les ingrédients sont réunis pour faire un album de pur rock’n’roll hargneux, combatif et tendu à l’extrême comme un Jake Lamotta sous amphètes !

THE LAST KILLERS OUT NOW cont

Increasingly fierce, the Closer Records Team has it in mind to comb the world over: Europe in particular to find the wildest R’N’R pearls and offer them up to you; Bruce Joyner (USA), The Curse (Sweden), Peter Zaremba (USA), Crummy Stuff (Canada) Primevals (Scotland), The Dark Rags (Greece), The Trap (Switzerland) … Now here they are … The Last Killers, a shaggy and bloodthirsty quartet from Ravenna, Italy.

If their background, in addition to the gang’s recent efforts, smelt of the noblest of 60’s Garage persuasions, The Last Killers channel the history of the Rock’n’Roll groove as homage to the classic savagery of Little Richard or The Sonics and bear the torch last carried by none other than the Jim Jones Revue.

With “Dangerous”, our Trans-Alpiners unleash their demons without restraint and fire off a flurry of hits right out of the gate! The 60’s organ lines that haunted their first release leave more room for frantic piano parts (à la “The Killer”, Jerry Lee Lewis), the beat gets straight to the point without embellishment or flourish, the guitars spread in all directions, fuzzy and distorted, the nasty and rabid vocals erupt, reminiscent of the good ol’ Gerry Roslie days…

As you can see, all the ingredients are gathered here for a pure & wild Rock’n’Roll album, combative and extremely tense, like Jake Lamotta on speed!

 

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